| ![]() ![]() ![]() ![]()
choux-fleurs (aux -) loc. adv. non conv. TEMPS "repère chronol." - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1843 - «Mon oncle m'a dit que je n'aurais dix-huit ans... qu'aux choux-fleurs.» Carmouche et Brisebarre, La Mère Gigogne, I, iv - P.W.
choux-fleurs (en -) loc. adj. GÉOGR. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1959 - «[...] l'accès du Trône paraissait défendu par de hautes crêtes en choux-fleurs, visibles en partie seulement, mais dont l'ascension, 'certainement difficile' disait Terray, ne paraissait pas hors de portée.» La Montagne et alpinisme, numéro 24, oct., 114 - C.T.
eau de mille fleurs loc. nom. f. PHARM. - DDL 16, 1825 ; L, ø d ; absent TLF.
1755 - Encycl. - R. L. rom., 45, 248.
eau de mille-fleurs loc. nom. f. PARFUM. - L, ø d ; absent TLF.
1825 - «L'eau de bouquet s'emploie pour la composition de l' eau de mille fleurs, à laquelle l'on ajoute de l'essence de néroli, et de l'essence ou teinture de vanille.» Mme Gacon-Dufour, Man. du parfumeur, 101 (Roret) - M.C.E.
1834 - «Eau de mille fleurs . 18 litres esprit trois-six. 4 onces baume de Pérou. 8 onces essence de bergamote. 4 onces essence de girofle. 1 once essence de néroli ordinaire. 1 once essence de thym. 2 onces essence de musc. 4 gros eau de fleur d'oranger.» Mme Celnart, Man. du parfumeur, 184 (Roret) - M.C.E.
1863 - «Eau de mille-fleurs.» P. Pradal et F. Malepeyre, Nouv. man. complet du parfumeur, 225 (Roret) - M.C.E.
eau de mille-fleurs loc. nom. f. PARFUM. - L, ø d.
• eau des mille fleurs - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1882 - E. Transer, Le Livre de la toilette, 16 (Bruxelles) - M.C.E.
fleurs pectorales loc. nom. f. PHARM. - TLF, 1834, Journ. de méd. et de chir. pratiques (même texte) ; FEW (8, 109b), 1840, Nysten ; L, ø d ; GLLF, 20e.
1834 - «Une légère infusion de fleurs pectorales et des sinapismes aux pieds ne firent point cesser les accidens.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, V, 419 - C.H.
serpent (trouver un - caché sous les fleurs) loc. verb. RELAT. "fig." - ø t. lex. réf. ; absent TLF le serpent est caché sous les fleurs : FEW (11, 520a), 1685 ; TLF, cit. Proudhon, 1840.
[1826] - «Mais, hélas ! tout n'est point roses dans les plaisirs, car le matin du troisième jour je m'aperçus avec horreur que j'avais trouvé un serpent caché sous les fleurs. En six semaines de privations et de soins, je me vis parfaitement rétabli.» Mém. de Jacques Casanova de Seingalt, t. 1, ch. 7, 243 (Bruxelles, Libr. Rozet, 1826-38) - R.R.
|