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flash forward, flash-forward n.m. d'apr. angl. CIN. LITT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1970 - «GAVRAS : J'aurais voulu vous poser une question : votre opinion sur le changement d'époque (de 1951 à 1965) par le seul biais d'un souhait émis par Montand-London [dans 'L'Aveu'] ? - C'est très intéressant. On appelle cela un 'flash forward'. C'est très peu utilisé. Resnais le fait dans 'La guerre est finie'.» G. Langlois, in Les Let. fr., 22 avr., 16 - AFC
1972 - «Le récit, délibérément complexe, substitue à la séquence chronologique une forme épique : chapitres à sujets multiples, aux titres imitant les vieilles chroniques, tableaux, flashbacks et flash-forward reliant des intrigues multiples.» B.E., in La Nouv. critique, déc., 84 - AFC
flash forward, flash-forward adj. d'apr. angl. CIN. LITT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1974 - «Rêve, passé flash-forward, se contaminent à la fois dans le temps ... et l'espace ... [...]» P. Fresnault-Deruelle, Des récits pour des lanternes (art. sur les bandes dessinées), in Magazine littéraire, numéro 95, déc., 26 - K.G.
flash-back n.m. d'apr. angl. LITT. - Rs, ø d ; absent TLF.
1955 - «[...] le romancier de 1640 veut, dès la première ligne, plonger son lecteur in medias res, quitte à recourir à d'interminables flashbacks explicatifs, inspirés et justifiés par le récit d'Ulysse au roi des Phéaciens ou par celui d'Enée à Didon.» G. May, in RHL, n° 2, 175 - P.E.
flash-back n.m. d'apr. angl. LITT. - Rs, ø d ; absent TLF.
• flache-baque - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1963 - «Je vous ferme encore la parenthèse ou j'en ouvre une autre, je sais plus... Avec ces flaches-baques, à ne plus s'y reconnaître, y trouver ses petits !» A. Boudard, La Cerise, 264 (La Table Ronde) - K.G.
flash-back n.m. d'apr. angl. CIN. - GLLF, Lex.[75], v. 1950 ; DA[80], 1951 ; TLF, cit. Giraud, 1956 [flashback] ; Rs (néol.), 1958 ; PR[77], 1966.
1923 - Cinémagazine, 7 déc. - Giraud
*1953 - «Procédé de style, appelé plus simplement 'retour en arrière', qui permet d'indiquer que certaines images traduisent une action passée ou antérieure à l'action en cours.» G. Bounoure, Regards neufs sur le cinéma, 485 - IGLF
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