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finitisme n.m. LOG.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1957 - «[...] l'esprit tantôt nie aveuglément l'infini actuel au nom d'un finitisme sans conviction, tantôt parie dans la nuit pour un absolu [...]» V. Jankélévitch, Le Je-ne-sais-quoi et le presque-rien, 41 (P. U. F.) - TLF
*1964 - «Il exige que la mathématique au moyen de laquelle on étudie un système formel ne fasse usage de la notion d'infini que dans les cas où cet emploi ne semble pas pouvoir donner naissance à des difficultés. Sont notamment interdites la considération d'ensembles infinis comme des touts donnés, l'application à ces ensembles du principe du tiers exclu ou d'un principe de choix analogue à celui qu'énonce l'axiome de Zermelo. La théorie de la démonstration telle que la conçoit Hilbert (et à sa suite Hërbrand) est strictement finitiste. [...] arithmétique satisfaisant aux exigences caractéristiques du finitisme.» R. Martin, Contribution à un vocab. de la logique mod.
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