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soyeux n.m. COMM. MÉTIER "vendeur au rayon de la soie"
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1834 - «Vous avez l'étoffe, il vous faut maintenant la doublure : c'est du satin blanc. Vous montez au premier. On appelle le soyeux.» A. Luchet, Les Magasins de Paris, in Paris, ou Le Livre des cent-et-un, t. XV, 252 (Ladvocat) - M.C.E.
Compl.R ("sous Louis-Philippe", cf. Matoré) et corr. GLLF (v. 1835, cf. Matoré)
*1841 - «Les desservants des rayons de la soierie s'appellent les soyeux ; les montreurs de châles se nomment châliers ; les préposés à l'indienne sont les indiens. » P. Bernard, Le Marchand de nouveautés, in Le Prisme, 215 (Curmer)cité aussi par Matoré, 32, mais de façon inexacte - M.C.E.
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