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féra n.m. ICHTYOL. - GLLF, av. 1850, Balzac ; Ls, cit. Journ. Offic., 1873 ; TLF, cit. 1875 ; FEW (3, 469a ; rég. Suisse), GR[85], ø d ferra : Lex.[79], v.1400 ; GLLF, 15e ; TLF, GR[85], 1558 ; FEW, 16e
• ferare - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1825 - «De Strasbourg, j'allai à Colmar ; dans le trajet pour m'y rendre, nous nous arrêtâmes dans une auberge pour y dîner : et là, M. Gillier fit une scène d'un genre tout nouveau pour lui ; on nous servit un excellent poisson, qu'on appelle ferare, dont le foie, justement renommé, est aussi bon que celui de la lotte et infiniment plus gros.» Mme de Genlis, Mém., t. 2, 253 ; cf. 254 (Londres, Colburn) - R.R.
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