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enculer v.tr. non conv. ÉROT. - FEW (2, 1513b), Rs, TLF, 1827-67, Delv. ; GLLF, mil. 19e ; PR[77], ø d.
1785 - «Idolâtre de la sodomie active et passive, mais plus encore de cette dernière, il passait sa vie à se faire enculer [...]» Sade, Les 120 journées de Sodome, Introd., t. 1, 34 ; cf. 43, 69 sqq. (Coll. 10/18, 1975) - R.R.
enculer v.intr. non conv. ÉROT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1785 - «Brise-cul avait un hochet si plaisamment contourné qu'il lui devenait presque impossible d'enculer sans briser le cul, et de là lui était venu le nom qu'il portait.» Sade, Les 120 journées de Sodome, Introd., t. 1, 71 (Coll. 10/18, 1975) - R.R.
1970 - J. Marks, Harrap's French-English dictionary of slang and colloquialisms - R.R.
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