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embrun n.m. MAR. - anbrun : AD, PR[67], BW5, 1521 ; TLF, déb. 16e, J. Lemaire de Belges ; GLLF, déb. 16e ; embrum : FEW (1, 561b), ø d
Au 19e - BW5, ND2, GLLF, 1836 ; PR[67], 19e ; L, DG (néol.), ø d. Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1828 - «On donne ce nom, en termes de marine, à une petite aspersion que les lames, en se brisant les unes contre les autres, font tomber à bord comme une bruine, qui mouille dans les embarcations, ainsi que ferait une petite pluie fine.» Laveaux, Dict.
*1831 - Acad., Dict., Suppl - B.G.
embrun n.m. GLACIOL. NIVOL. "de neige" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1943 - «Un rapide télémark, l'embrun de neige qui monte et la résistance cède autour de vos talons.» C.-E. Engel, trad. : A. Lunn, Les Montagnes de ma jeunesse, 45 (Attinger) - M.J.
1946 - «La neige jaillit autour des skis et voltige comme de légers embruns.» R. Mathéron, Neiges, 112 (Arthaud) - M.J.
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