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dérobade n.f. CARACT. "fig." - TLF, 1905, Barrès ; GLLF, 1911, Gide ; FEW (16, 678b), 1932, Acad. ; PR[77], ø d.
1889 - «Sa disparition momentanée ressemble donc fort à une dérobade.» Le Matin, juill., in Guérin, Dict. des Dict., Suppl. (1895)
*1906 - «Mets seulement ton soupirant au pied du mur... joue-lui la grande scène de la capitulation. 'Eh bien oui, prenez moi !... Je suis à vous !...' C'est là que je l'attends ! Oh, ma chère ! quelle dérobade !...» J. Lorrain et C. Esquier, Une Conquête, I, ii - B.T.
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