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avant-dormir n.m. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1959 - «La journée avait été très dure, et je fusse arrivée en mendiante... une certaine nuit noire et blanche, à Venise, tu m'as appris la bonne pensée pour l'avant-dormir : j'ai donc rêvé de choses douces.» A. SarrazinLet. à Julien, 5 nov., 220 (Pauvert, Livre de poche, 1973) - K.G.
bienheureux (dormir comme un -) loc. verb. non conv. SANTÉ "dormir profondément" - TLF, cit. O. Feuillet, 1878 ; GLLF, GR[85], DEL, ø d.
• ronfler comme un bienheureux
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1828 - «Le voisinage de tels camarades de lit n'était rien moins que rassurant ; cependant il fallut s'en accomoder ; tout ce qu'il en advint, c'est que je ne dormis pas : les autres ronflèrent comme des bienheureux VidocqMém., 1, 26 (Tenon) - P.R.
bienheureux (dormir comme un -) loc. verb. non conv. SANTÉ "dormir profondément" - TLF, cit. O. Feuillet, 1878 ; GLLF, GR[85], DEL, ø d.
1847 - «- Faut-il l'éveiller, ce pauvre cher homme qui dort comme un bienheureux [...] ?» BalzacLe Cousin Pons, 221 - FXT
dormir v.intr. MAR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1834 - «Se dit aussi de la Rose des vents que le frottement de sa chappe contre le pivot, ou toute autre cause empêche de tourner, lorsque le bâtiment change de route : le timonnier doit de temps en temps presser, du bout du doigt, la glace de la boîte contre la Rose, afin de réveiller celle-ci, s'il y a lieu, ou de faire cesser sa stagnation.» BonnefouxDict. abrégé de mar.
1852 - «[...] comme nous le disons en langage nautique, le compas dort, et ce n'est qu'en le remuant et en comparant avec lui nos petites boussoles de poche que nous pouvons avoir quelque confiance.» J.-R. BellotJourn. d'un voy. aux mers polaires, 13 avr., VIII, 279 (1854) - R.R.
1929 - Lar. XXe - R.R.
dormir (qui dort dîne) loc. prov. PROVERBE - L, DG, PR[73], GLLF, TLF, ø d.
1649 - «qui dort disne : Proverbe [...]» RicherL'Ovide bouffon, ou les Métamorphoses burlesques, II, 55 (Quinet) - F.N.
1690 - «On dit aussi, Qui dort disne, pour dire, qu'en dormant on s'engraisse aussi bien qu'en mangeant.» FuretièreDict.repris dans Dict. univ. de Trévoux, 1704.
oreilles (dormir sur ses deux -) loc. verb. non conv. AFFECT. "fig." - BEI, déb.19e ; DEL, cit. Céline ; GR[85], cit. Sartre ; GLLF, ø d - sur les - : TLF, 1835, Acad. ; L, ø d
1829 - «M. Bégin pense qu'un chirurgien dormira mieux sur ses deux oreilles, quand, après une opération, il aura fait la ligature, que lorsqu'il aura fait la torsion [...]» La Lancette fr., n° 15, 25 juill., 59a - P.E.
sac à dormir loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1877 - «Enfin, après bien des hésitations et sachant ma retraite assurée, ayant d'ailleurs des provisions et mon sac à dormir, je criai : 'En avant !' Et nous nous élançâmes [...]» Annuaire du Club alpin fr. Année 1876, 9 (Paris) - C.T.