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dilution n.f. MÉD. "en médecine homéopathique : action de disperser une substance au sein d'un solvant, afin d'accroître son pouvoir d'action" - L, ø d ; GLLF, 20e.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1833 - «La dose des médicaments employés par le médecin homoeopathiste doit être excessivement faible. [...]. Une goutte de drosera, au trentième degré de dilution, à chacun desquels elle a été secouée vingt fois, met en danger la vie d'un enfant atteint de la coqueluche à qui on la fait prendre.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, IV, 251-2 - C.H.
*1836 - «S'agit-il d'un suc ou d'une teinture, Hahnemann, alors, délaie une goutte successivement dans plusieurs fois cent gouttes d'eau distillée, et tous les mélanges successifs, qu'il nomme des dilutions, amoindrissent la dose du remède.»I. Bourdon, in Dict. de la conversation, XXXII, 138b (s.v. homoeopathie) - C.H.
dilution n.f. MÉD. - DDL 8, TLF, 1833, Journ. de méd. et de chir. ; L, ø d ; Rs, 1955 ; PR[77], 20e sens gén. : GLLF, TLF, Lex.[75], ND4, PR[77], 1836, Landais ; R, 1856, La Châtre ; L, ø d ; DG (néol.), 1878, Acad.
1548 - E. Fayard, Galen sur la faculté dez simples medicamans, 1, 52 ; 4, 4 ; 6, 43 (Limoges) - Et. Phil. rom. Hist. litt., 1980, 7.
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