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diabolisme n.m. RELIG. - TLF, cit. Huysmans, 1891 (autre texte) ; Rs, 1897, L. Bloy ; GLLF, fin 19e.
1891 - «[...] l'une des plus indulgentes définitions du diabolisme !» Huysmans, Là-bas, 51 (Plon, Livre de poche) - F.N.
1891 - «Le Diabolisme est devenu administratif, centralisateur, si l'on peut dire.» Huysmans,  Là-bas, I, 107 - Cressot, 241.
diabolisme n.m. ÊTRE "caractère diabolique" - TLF, GR[85], cit. L. Bloy, 1886.
1885 - «[le] paganisme, dont vous n'avez sucé que les vieilles phrases sans en retenir le diabolisme essentiel [...]» L. Bloy, Propos d'un entrepreneur de démolitions, 9 - P.W.
diabolisme n.m. RELIG. "culte du diable" - Lex.[79], 1890 (?) ; DDL 14, TLF (cit.), 1891, Huysm. ; GLLF, fin 19e, Huysm. ; GR[85], cit. Romains, 1943.
1891 - «Ce lyrique blasphémateur [Lautréamont], qui attisa le plus virulent satanisme sur les grils de ses prosopopées [...] ce vociférateur des litanies du Péché et de la Damnation, créateur d'un antiphonaire sabbatique s'égalant aux pires rituels du Diabolisme, perturba tellement l'inepte critiquaille contemporaine qu'à part deux ou trois hauts esprits, nul ne se sentit assez sûr de ses propres lumières pour plonger dans ces gouffres d'incohérences et de ténèbres où par moment clame une voix merveilleusement musicale.» C. Lemonnier, in Mercure de France, t.2, févr., 66 - M.C.