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combiné descente-slalom loc. nom. m. SKI - TLF, GR[85], ø d.
1935 - «Combiné descente-slalom [...]» La R. du ski, avr., VIII - C.T.
1950 - «Aux championnats du monde de la F.I.S., à Chamonix, en février 1937, Emile Allais est champion du monde de ski, Maurice Laforgue deuxième, l'équipe de France est en tête du classement par nations en descente et combiné descente-slalom A. JacquesSki de descente, 15 (Arthaud) - C.T.
corde (descente à la - double) loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1924 - «Pour moi, cette erreur dans l'évolution de l'alpinisme réfrène l'enthousiasme instinctif de ceux qui ne demanderaient pas mieux d'aller voir de près les neiges éternelles ; mais qui s'effraient des difficultés et des dangers de l'aventure. On ne leur montre que des descentes à la corde double, des escalades à la Mummery, des acrobaties terrifiantes.» La Montagne, numéro 173, juin, 203 - C.T.
corde (descente à la double -) loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «[...] la descente à la double corde est plus sensationnelle maintenant et plus susceptible d'émouvoir le spectateur bien assis [...]» La Montagne, numéro 10, juill.-août, 217 - C.T.
coureur de descente loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1932 - «Si Zermatt est le village des coureurs de descente, par contre Sainte-Croix est celui des sauteurs.» La R. du ski, n° 4, avr., XI - C.T.
1934 - «Il [Ulland] s'y révéla excellent coureur de descente, battant un de nos meilleurs descendeurs : Dewulf.» La R. du ski, n° 6, juin, 190 - C.T.
1946 - «D'une façon générale, les conséquences d'un dérapage impromptu pouvant être parfois funestes, le skieur de montagne, appelé à évoluer au milieu des rochers, des arbres, des crevasses traîtresses, doit, plus encore que le coureur de descente, pouvoir placer un virage à un endroit précis ou exécuter un arrêt brusque devant un obstacle.» La Montagne, n° 334, oct.-déc., 86 - C.T.
1961 - «Dans le domaine de la technique-descente, la grande force des Français réside dans la fameuse position en 'oeuf'. Celle-ci a été mise au point par Vuarnet Jean et H. Bonnet (d'où parfois son appellation de position V.J.). Cette position a fait beaucoup parler d'elle. Certains officiels du ski, des anciens coureurs, des journalistes spécialisés, ont même dit qu'il était inutile de faire si grand cas d'une position que prenaient instinctivement et depuis longtemps, les grands champions. Il est évident que ni Bonnet, ni Vuarnet, n'ont inventé la position de recherche de vitesse. Depuis toujours pour aller plus vite, les coureurs de descente ont cherché, la position la plus aérodynamique en s'accroupissant sur leurs skis.» La Montagne et alpinisme, n° 34, oct., 120 - C.T.
course de descente loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Le Congrès international tenu à Oslo en février 1930 a vu la course de descente prendre la place qui lui était due. Jusqu'alors les Championnats Internationaux ne comprenaient que les courses de fond et le saut. La course de descente est restée la Cendrillon du ski de concours jusqu'à ce que la longue campagne entreprise par les skieurs britanniques se vit couronner de succès à Oslo.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, Préf., V (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1937 - «Chamonix-Mont-Blanc, qui recevra cet hiver les Jeux mondiaux de ski, a entrepris dès le printemps dernier d'importants travaux d'équipement et d'organisation. C'est ainsi notamment que des pistes nouvelles ont été ouvertes, autant pour les courses de descente que pour les épreuves de slalom.» La Montagne, n° 285, janv., 52 - C.T.
descente n.f. ALP.  "retour d'une ascension" - RSp., GR[85], 1799, Mme Roland ; in Ga [1970] ; absent TLF.
Add.DDL :
*1786 - «On a quelques difficultés à vaincre pour entrer sur ces glaces, et pour traverser les premieres crevasses ; mais ces premiers obstacles une fois surmontés, il semble qu'il ne reste plus que la longueur de la route, et la difficulté de faire dans un jour la montée et la descente H.B. de SaussureVoy. dans les Alpes, t. 2, 550 (Genève) - C.T.
descente n.f. SKI "pente descendante" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «[...] la Gypy, superbe descente de deux kilomètres.» La Montagne, n° 4, avr., 75 - C.T.
1911 - «Au point de vue sports d'hiver, elle offrira un tracé tout fait pour de grandes randonnées à ski et pour de magnifiques descentes [...]» La Montagne, n° 1, janv., 44 - C.T.
1912 - «C'est à cause de la descente surtout que le ski a passé du but utilitaire au sport, c'est-à-dire à un des exercices du corps les plus agréables.» R. Auscher, trad. : FendrichLes Sports de la neige, 76 (Hachette) - M.J.
descente n.f. SKI "compétition, épreuve de ski" - TLF, cit. Peyré, 1939 ; GLLF, RSp., ø d ; in Ga [1969] 1928, in GR[85], correspond à la date de la 1ère épreuve de descente
1930 - «Aussi, parmi plus de 60 concurrents, ces cinq spécialistes de la descente, aux maillots bleu clair et aux figures hâlées par le soleil, parvenaient à occuper les 5 premières places dans cette belle et démonstrative course.» La R. du ski, n° 4, avr., 114 - C.T.
1930 - «L'année dernière, Cambridge a remporté la descente, le slalom et le saut [...]» La R. du ski, n° 10, déc., XIX - C.T.
1930 - «Il est, bien entendu, à peu près impossible de devenir un skieur de descente de premier ordre sans prendre part à des courses. [...] Pour égaliser les chances du skieur de descente et du skieur de fond, il faut rapprocher non les distances de montée et de descente, mais les temps mis à les parcourir respectivement. Cela revient pratiquement à dire que, pour cent mètres de montée, il doit y avoir au minimum mille mètres de descente.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, Préf., V et 186 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
descente n.f. LING. "origine" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1580 - In titre : L. TrippaultCelt'hellenisme, ou Etymologie des mots françoys tirez du graec, plus preuves en general de la descente de nostre langue (Orléans, Gibier, in 8°) - J.S.
descente n.f. ALP. "retour d'une ascension" - DDL 27, 1786, Saussure ; RSp., GR[85], 1799, Mme Roland ; absent TLF.
1741 - «La descente était extrêmement rude, d'une terre sèche mêlée de gravier et de petites pierres qui ne nous donnaient point d'appui fixe pour nos pieds [...].» Windham, Relat. d'un voy. aux glacières de Savoie en l'année 1741, cité in M. ChamsonLe Roman de la montagne, 60 (éd. C. de Bartillat, 1987) - C.T.
descente alpine loc. nom. f. SKI "compétition, épreuve de ski" - ø t. lex. réf. ; absent TLF. descente : TLF, cit. Peyré, 1939 ; GLLF, RSp., ø d ; in Ga [1969] ; 1928, in GR[85], correspond à la date de la 1ère épreuve de descente
1930 - «[...] une telle épreuve de descente alpine est de nature à stimuler énormément le développement de la technique et de l'art du ski.» R. alpine, n° 4, avr., 115-6 - C.T.
descente au poignet loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1912 - «Mais ce n'est pas une de ces descentes au poignet, comme on les fait dans les aiguilles de Chamonix.» Echo des Alpes, numéro 2, 51 - C.T.
descente de croix loc. nom. f. PEINT. "représentation de Jésus-Christ qu'on détache de la croix" - TLF, Acad. ; GR[85], ø d 1690, Fur., in TLF, n'est pas explicite
1699 - «Il fit entr'autres choses une Descente de Croix estimée une des merveilles de la nature. Ce Tableau est couvert de deux volets, dans l'un est representé le Martyre de Saint Jean l'Evangeliste, & dans l'autre Herodiade [...].» F. Le ComteCabinet des singularitez d'architecture, peinture, sculpture et graveure, II, 232 (Picart) - P.E.
descente de lit loc. nom. f. AMEUBL.  MOBIL. - FEW, PR[67], 1870 ; L, DG, ø d.
Compl. TLF (mêmes réf., ø texte) :
1837 - «(Chez du Tillet) Une descente de lit en hermine se dessinait sur les couleurs violacées d'un tapis du Levant.» BalzacCésar Birotteau, XIV, 226 (Conard) - J.H.-P.W.
*1842 - «Sur le refus d'acheter de petits tapis en lisière, elle donna sa descente de lit à sa petite Agathe.» BalzacLa Rabouilleuse, 199 (Rat) - P.W.
descente de lit loc. nom. f. LINGERIE - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1845 - «On distingue deux sortes de peignoirs de maison ; l'un, qu'on appelle descente de lit, est en soie, doublé de couleur tranchante, avec de larges manches à la religieuse ; nous l'avons piqué pour l'hiver, et maintenant nous le doublons seulement. L'autre est le peignoir habillé avec lequel on reçoit [...]» Le Moniteur de la mode, 20 avr., 10a - M.C.E.
descente de police loc. nom. f. JUST.  "recherche, perquisition, rafle exécutée par les services de police" - GLLF, Lex.[79], GR[85], ø d ; absent TLF.
1789 - «Je dénonce donc la descente de police, faite de nuit, par un détachement de mouchards bleus, chez un limonadier du Quai des Augustins [...]» Le Dénonciateur national, numéro 5, 14-15 - P.E.
descente de police loc. nom. f. JUST. "recherche, perquisition, rafle exécutée par les services de police" - DDL 30, 1789, Le Dénonciateur national ; GLLF, GR[85], ø d ; absent TLF.
• descente de commissaire
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1769 - «[...] il y eut, par ordonnance de M. le Lieutenant-Général de police, une descente de commissaire dans leur bureau, rue des Vieux Augustins ; on y trouva des bouteilles pleines, cachetées de leur cachet, & étiquetées Nouvelles eaux minérales de Passy [...].» Le Viellard, lettre, 21 oct., in Journal encyclopédique, 15 janv. 1770, 280 - P.E.
descente directe loc. nom. f. SKI - In Ga [1969] ; absent TLF.
1924 - «Si vous aimez les descentes directes, prenez une bonne avance sur la caravane.» A.G., trad. : A. LunnLe Ski, 15 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1925 - «Descente rapide, arrêt sauté, puis virage sauté pour repartir sur une nouvelle descente directe [...]» R. alpine, n° 2, 59 - C.T.
1928 - «Saut-tournant pour prendre la descente directe lorsqu'on est placé en travers d'une pente (avec ou sans bâtons).» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. BarblanL'Art du ski , 135 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
1930 - «La figure 24 représente un corridor, ayant pour objet le contrôle du virage vers l'amont sur descente directe. Le tracé d'un corridor sur une pente très forte est très délicat. Si la vitesse est trop élevée en E, et si la pente est très forte au-dessous de E, un virage manqué portera le skieur très au-dessous de F. Il lui faudra alors regrimper et perdre un temps précieux.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, 208 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1933 - «Vous êtes en descente directe, vous voulez freiner ou vous arrêter.» K. WickMan. du ski de descente, 25 (Fasquelle) - M.J.
descente en chasse-neige loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1910 - «[...] la descente en chasse-neige est préférable sur les pentes raides, tandis que le double virage (christiania ou Telemark) trouve ses applications principales sur des pentes peu rapides parcourues à vive allure.» F. Achard, trad. : PaulckeMan. de ski, 69 (2e éd., Berger-Levrault) - C.T.
descente en demi-freinage loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1928 - «Parfois le seul moyen utilisable, même avec l'aide des bâtons qui contribuent à ralentir la course, est la descente en demi-freinage A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. BarblanL'Art du ski, 264-5 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
descente en festons loc. nom. f. SKI - TLF, ø d.
1930 - «Seul un skieur confirmé dans toutes les variétés de virage, courts et serrés, longs et traînés, descentes en S et descentes en festons, pourra descendre ce parcours dans un style impeccable.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, 199 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
Cf. descente festonnée
descente en freinage virage loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1931 - «Descente en freinage virage sur les glaciers du Weisshorn.» La R. du ski, n° 1, janv., 34 - C.T.
descente en position dehors loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «La descente en position dehors est très profitable en neige changeante (tantôt bourrante, tantôt glissante). Le ski avant déchargé renseigne sur l'état de la neige.» J. Selz, trad. : M. WinklerLa Nouv. technique du ski, 73 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
descente en S loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «Pour faire un virage vers l'aval (descente en S), le vissage du corps est insuffisant ; il faudra faire précéder le Christiania pur par un contrepas. Le contrepas est l'inverse du pas du patineur [...] soulever un ski et le poser dans une position convergente ; au moment où on le pose, soulever l'autre et le poser à côté du premier dans la nouvelle direction.» R. alpine, n° 2, 2e trim., vol. 26, 77 - C.T.
1930 - «Seul un skieur confirmé dans toutes les variétés de virage, courts et serrés, longs et traînés, descentes en S et descentes en festons, pourra descendre ce parcours dans un style impeccable.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, 199 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
descente en stemmbogen levés loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Descente en stemmbogen levés sur un chemin étroit en pente rapide (bâton d'une seule main).» J. Selz, trad. : M. WinklerLa Nouv. technique du ski, 69 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
descente en trace ouverte loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1928 - «Descente en trace ouverte. (Trace large ou position ouverte.)» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. BarblanL'Art du ski, 131 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
descente en virage-Christiania loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1928 - «Les conditions permettant la descente en virage-Christiania sont les mêmes que pour l'arrêt.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. BarblanL'Art du ski, 213 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
descente en vrille loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1924 - «Or, aucune sensation sportive, à part peut-être la griserie de l'aviation, n'égale l'enchantement de ces descentes en vrille, où le skieur, maître de l'espace et de ses moyens, dévale des pentes les plus impressionnantes avec une gracieuse nonchalance au rythme berceur de ses virages [...]» L'Echo des Alpes, 150 - M.J.
descente en écharpe loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1917 - «Il est des cas pourtant, en excursion, où la descente des pentes 'en écharpe' est indispensable.» H. Faes et P.-L. MercantonLe Man. du skieur, 39 (Lausanne, Impr. réunies) - M.J.
descente festonnée loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «La descente festonnée sur une pente prise par le travers est entrevue par Zarn et Barblan à propos du Demi-Christiania. Elle consiste en un double virage : 1° virage vers l'amont, jusqu'à l'horizontale, pour rompre la vitesse ; 2° lui succédant sans transition, virage vers l'aval, pour reprendre la direction initiale. La trace laissée sur la pente par une succession de ces doubles virages est une série de festons. Ce procédé peut également s'employer sur une descente directe. Les virages d'enrayage seront des Telemarks, des Christianias ou des virages Sautés, suivant l'état de la neige. Les virages vers l'aval seront des combinaisons variables suivant chaque cas. Le cas particulier auquel M. Lunn fait allusion est celui où les deux virages sont des virages sautés [...] Il n'y a plus là de véritables festons, mais une ligne droite interrompue par les arrêts sautés (quersprünge).» R. alpine, vol. 26, n° 2, 59 - C.T.
1930 - «L'arrangement nommé longue abatée [...] permettra au concurrent soit de faire des virages successifs à grand rayon, soit de montrer sa maîtrise de la descente festonnée A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, 206 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
Cf. descente en festons
descente freinée, descente-freinée n.f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1928 - «Au point de vue de la position, c'est le contraire de la descente-freinée. Ce procédé n'est recommandable que sur des pentes raides, que l'on abordera toujours de front et jamais en travers ou de biais. Dans un chemin creux ou dans un couloir, la montée en ciseaux est impraticable ; par contre, elle est relativement facile et rend bien des services sur des croupes ou des arêtes en dos d'âne point trop inclinées, où les skis surplombent respectivement l'un et l'autre versant. [...] pour apprendre les descentes freinées il faut chercher des pentes moyennes, dont l'inclinaison diminue progressivement.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. BarblanL'Art du ski , 102 et 148 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
descente glaciaire loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1964 - «Les points d'atterrissage en haute montagne deviennent, au printemps, de plus en plus nombreux et permettent une fréquentation des descentes glaciaires de plus en plus grande. Il est possible de faire dans la journée Chamonix-Zermatt sans rater une seule des descentes de 'la haute route'...» La Montagne et alpinisme, numéro 46, févr., 182 - C.T.
descente godillée loc. nom. f. SKI - DDL 5 (s.v. godillé), 1930, R. du ski ; RSp., 1930 et 1939 ; GR[85], ø d ; absent TLF.
1930 - «Le virage à grande vitesse et à grand rayon [...] est assez facile si l'on dispose de suffisamment de place pour le mener jusqu'à l'arrêt, mais il est très difficile de l'interrompre et de le renverser en arrivant au point marqué d'une croix. La descente godillée consiste en virages à grande vitesse interrompus au moment précis où ils s'incurvent à nouveau dans la pente.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, 133-4 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
descente libre loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Les courses de descente comprennent les courses de descente libre, où les concurrents sont ordinairement libres de choisir leur itinéraire, et les courses slalom, où le parcours est déterminé par des fanions. L'intérêt de la descente libre est dans la recherche de la descente directe ; celui du slalom est dans le mécanisme des virages.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, 2 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1937 - «[...] la formule de la course, formule neuve et originale, dite 'Grand Slalom', demande aux concurrents des qualités techniques beaucoup plus poussées que la formule habituelle de la descente libre La R. du ski, n° 1, janv., 52-53 - C.T.
descente seulement, descente-seulement n.f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1937 - «Afin de consacrer le moins de temps possible à la montée, les stations équipées de chemin de fer de montagne furent recherchées, des moyens de transport furent créés à seule fin de satisfaire les adeptes de la nouvelle forme du ski : DESCENTE SEULEMENT. Funiculaires, monte-pente surgirent de partout, tels des champignons, et certaines stations en arrivèrent à éliminer toute 'montée' ; et ainsi le but des 'DESCENTE SEULEMENT' fut atteint. En même temps que se développait cette manière de comprendre le ski, une autre par réaction surgissait, qui elle n'acceptait pas la 'descente-seulement'.» Ski-Sports d'hiver, n° 50, nov., 46 - C.T.
Cf. downhill-only
descente slalomée loc. nom. f. SKI "épreuve sportive" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1939 - «Descente slalomée. - Seniors [...]» La R. du ski, n° 4, mars, IX - C.T.
descente subaquatique loc. nom. f. PLONGÉE - L [1872], ø d ; absent TLF.
• appareil de descente subaquatique
  loc. nom. m. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1866 - «Il n'y a presque plus un seul port du royaume [britannique] qui n'ait son plongeur et ses appareils de descente subaquatique. Les services rendus par ces nouvelles machines à la navigation, à l'architecture maritime et à la fortune publique sont vraiment incalculables [...]» A. Esquiros, in R. des deux mondes, t.62, 15 mars, 314 - M.C.
descente sur les bâtons loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «La descente sur les bâtons proprement dite consiste à mettre soit un bâton unique, soit les deux bâtons réunis en un seul, entre les jambes. Le freinage avec les bâtons consiste à mettre les deux bâtons à droite ou à gauche et à les utiliser comme frein. [...] L'expression britannique correspondante 'stick-riding' comprend non seulement le procédé qui consiste à chevaucher les bâtons, mais aussi l'emploi des deux bâtons réunis en un seul et utilisés comme frein. Par 'descente sur les bâtons' nous comprendrons également les deux méthodes.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin , 149 et 145 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
descente sur les lieux loc. nom. f. DR. - L, R, Lex.[75], PR[77], ø d.
1779 - «[...] il arrive que les propriétaires [...] commencent à élever des bâtiments et forment des rues nouvelles [...] de manière qu'il arrive même que ces rues se trouvent formées et quelquefois pavées, lors des descentes qui sont faites sur les lieux, par les officiers du bureau des finances et du bureau de la ville, pour donner les alignements, déterminer le nivellement et régler les pentes du pavé.» Ordonnance, in Recueil gén. des anciennes lois fr., XXVI, 103-4 - P.E.
descente-slalom n.f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1934 - «L'épreuve combinée de descente-slalom se cote sur 200 points [...]» La R. du ski, n° 8, oct., 231 - C.T.
1938 - «La descente slalom était tracée sur les flancs de l'Alhambre [...]» La R. du ski, n° 4, mars, XIII - C.T.
1947 - «Le Ruban Blanc, disputé annuellement avant-guerre, est une grande épreuve de descente-slalom, mais cette saison les Suisses y ajoutèrent le Grand Fond, le Fond 18 km., le Saut, Spécial et Combiné, et, par conséquent, le Combiné Nordique.» La Montagne, n° 338, oct.-déc., 81 - C.T.
fart de descente loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Le fart de montée est toujours aussi en même temps un fart de descente. Il doit être appliqué de façon à retenir à la montée, sans former de gâteau, et à glisser sans faire frein en palier ou à la descente.» J. Selz, trad. : M. WinklerLa Nouv. technique du ski, 21 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1946 - «En effet, les néophytes, qui n'ont jamais prisé les farts que dans la mesure où ils empêchaient leurs skis de 'coller', ont une tendance naturelle à affectionner les farts de descente La Montagne, n° 334, oct.-déc., 87 - C.T.
piste de descente loc. nom. f. SKI - TLF, GR[85], ø d ; in Ga [1969].
1933 - «Rochebrune [...] six pistes de descente exposées plein Nord et abritées du vent.» La R. du ski, n° 10, déc., XIX, publ - C.T.
1939 - «Le Syndicat d'Initiatives d'Argentière nous fait savoir qu'une piste de descente a été aménagée entre l'hôtel de Lognan et un point voisin du tremplin d'Argentière. Un remonte-pente du Tour à Charamillon a été également mis en service.» La Montagne, n° 304, Publ., VII - C.T.
rappel (descente en -) loc. nom. f. ALP. - GLLF, 1948, Frison-Roche ; TLF, cit. Gautrat, 1970 ; [RSp. : s.v. rappel, in déf.], GR[85], ø d.
1913 - «Traversée du Grand Gendarme du Grépon. A gauche : descente en 'rappel'.» CasellaL'Alpinisme, 274, Légende de photo (Genève, Slatkine) - C.T.
1930 - Légende de photographie, in La Montagne, numéro 12, nov.-déc., 367 - C.T.
ski de descente loc. nom. m. SKI "sport" - TLF (s.v. piste), cit. Peyré, 1939.
1930 - «Le moment est venu, semble-t-il, de traiter à fond dans un ouvrage spécial, non seulement le ski de descente, mais aussi les problèmes particuliers aux courses de descente. [...] On peut adopter cette classification du ski : ski de descente, ski de plat (comprenant le ski à la montée) et ski de saut A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin , Préf., V et 1 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1933 - «A notre époque, où les sports d'hiver semblent devoir faire partie de toute existence rationnellement organisée, on pourrait croire qu'il n'y a plus rien à dire sur le plus merveilleux d'entre eux : Le Ski et, en particulier, le ski de descente. [...] Nous avons dit dans notre préface que le ski alpin est le ski de descente K. WickMan. du ski de descente , 5 et 12 (Fasquelle) - C.T.
1936 - «Une réserve cependant : la vogue actuelle du 'ski de descente', si justifiée, prend chez nombre de skieurs une forme fâcheusement exclusive, les portant à faire uniquement les pentes, toujours les mêmes, en haut desquelles les a montés un moyen artificiel de transport. Par là se manifeste un éloignement pour l'effort prolongé, éloignement défavorable à l'alpinisme : mais pourquoi reprocherait-on au ski cette tendance ? Il en subit les effets et n'en est point la cause.» La Montagne, n° 282, oct., 355 - C.T.
skieur de descente loc. nom. m. SKI - GR[85], ø d ; absent TLF.
1930 - «Il est, bien entendu, à peu près impossible de devenir un skieur de descente de premier ordre sans prendre part à des courses. [...] Pour égaliser les chances du skieur de descente et du skieur de fond, il faut rapprocher non les distances de montée et de descente, mais les temps mis à les parcourir respectivement. Cela revient pratiquement à dire que, pour cent mètres de montée, il doit y avoir au minimum mille mètres de descente.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, Préf., V et 186 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1932 - «L'immense majorité des visiteurs de Corviglia ne sont ni des alpinistes ni des touristes ; ce sont des 'skieurs de descente'. Leur sport est la descente, et ils veulent rejoindre la vallée aussi vite qu'il leur est possible par tous les moyens. Le 'record' est leur idole.» Ski-Sports d'hiver, n° 9, 15 oct., 186 - C.T.
1933 - «Malgré cette importance secondaire du Télémark dont on ne se sert jamais en Arlberg, la position Fendue (de fente) offre de grands avantages pour le terrain et est indispensable dans le répertoire d'un skieur de descente. La position de fente consiste dans l'avancement extrême d'un ski et du déchargement de ce ski ainsi avancé.» K. WickMan. du ski de descente, 48 (Fasquelle) - M.J.-C.T.
1946 - «Actuellement ces arêtes artificielles sont devenues une nécessité ausi bien pour le skieur de tourisme que pour le skieur de descente La Montagne, n° 334, oct.-déc., 86 - C.T.
skieur de descente alpin loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Il est infiniment plus facile à un bon skieur de fond d'acquérir la technique de descente que vice-versa. Les skieurs de descente alpins auront fort à faire pour empêcher leurs titres de champions de sortir des Alpes.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, 18 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
stem-descente, stemm-descente n.f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1931 - «Il [Zdarsky] aimait les descentes lentes en continuels virages, la stem-descente La R. du ski, n° 8, oct., 219 - C.T.
1950 - «Zdarsky, artiste autrichien, se voue à cette tâche en solitaire, à Lilienfeld, pratiquant le chasse-neige et une stem-descente, en s'aidant d'un long bâton qui sera l'objet de nombreuses discussions.» A. JacquesSki de descente, 10 (Arthaud) - C.T.
technique-descente n.f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1961 - «Dans le domaine de la technique-descente, la grande force des Français réside dans la fameuse position en 'oeuf'. Celle-ci a été mise au point par Vuarnet Jean et H. Bonnet (d'où parfois son appellation de position V.J.). Cette position a fait beaucoup parler d'elle. Certains officiels du ski, des anciens coureurs, des journalistes spécialisés, ont même dit qu'il était inutile de faire si grand cas d'une position que prenaient instinctivement et depuis longtemps, les grands champions. Il est évident que ni Bonnet, ni Vuarnet, n'ont inventé la position de recherche de vitesse. Depuis toujours pour aller plus vite, les coureurs de descente ont cherché, la position la plus aérodynamique en s'accroupissant sur leurs skis.» La Montagne et alpinisme, n° 34, oct., 120 - C.T.
voie de descente loc. nom. f. ALP. - TLF, ø d.
1925 - «[...] la face Sud-Est nous assure une voie de descente sans embarras et rapide, un chemin de retour commode à tous égards.» R. alpine, vol. 26, numéro 3, 99 - C.T.