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détresse n.f. PSYCHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - In titre : P. Hartenberg, La 'détresse' des psychasthéniques, in Journ. de psychol., 2e année, 135 - M.C.
détresse morale loc. nom. f. PSYCHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1923 - «Dans un rêve raconté spontanément, on peut trouver le complexe d'OEdipe et de nombreux symboles freudiques, mais à quoi bon tenter la reconstitution de tous les chaînons sexuels et affectifs quand on sent une nature loyale chez qui la détresse morale entretenue par un état physique mauvais et douloureux, n'a pas altéré les sentiments maternels.» Dr Martin-Sisteron, Névrose splanchnique, psychoanalyse, guérison, in L'Encéphale, janv., 116 - M.C.
signal de détresse loc. nom. m. CH. DE FER - ø t. lex. réf. ; absent TLF mar. : L, DG, ø d ; TLF, cit. Verne, 1873 ; GLLF (au pl.), 1964, Lar. ; GR[85], ø d ; sens étendu : Lex.[79], cit. Bazin
1883 - «SIGNAL [...] DE DETRESSE (Nothsignal-Danger signal). Signal annonçant un accident sur le chemin de fer.» Jacquez, Dict. d'électricité et de magnétisme, 178 (Klincksieck) - P.E.
train en détresse loc. nom. m. CH. DE FER - GLLF, GR[85], ø d ; absent TLF.
1864 - «Un des cas les plus importans à prévoir était celui des trains dits en détresse, c'est-à-dire arrêtés par un accident sur le parcours, loin des disques et des cantonniers.» J. Gaudry, in R. des deux mondes, t.51, 15 juin, 955-6 - M.C.