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dérapage n.m. MAR. - FEW (16, 664b), GLLF, 1907.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1832 - «Quand un voyageur me parle [...] de la drome, du déralinguage, du dérapage [...] j'ouvre de grands yeux.» Balzac, Java, in BalzacOeuvres diverses, II, 569 (Conard) - J.H.-P.W.
dérapage n.m. AFFECT.  "fig." - Lex.[75], ø d. écon. : GLLF, ap. 1950 ; PR[77], ø d.
1926 - «J'écris quand j'ai besoin de m'exprimer. Cela m'arrive assez rarement, - pendant les périodes de dérapage P.P. Datz, in Les Cahiers du mois, n° 21-22, 67 - P.E.
dérapage n.m. AÉRON. - TLF, cit. Saint-Exupéry, 1942 ; PR[77], ø d.
1920 - «DERAPAGE. On dit qu'un appareil dérape quand son déplacement dans l'air ne se fait pas suivant son axe, - c'est-à-dire qu'une girouette placée sur la carlingue ne serait pas parallèle à l'axe.» A. LainéDict. de l'aviation, 134 (Charles-Lavauzelle) - M.C.E.
dérapage n.m. SKI "glissement volontaire" - RSp., GR[85], 1939 ; GLLF, mil. 20e ; TLF, 1969, Gautrat.
1904 - «Après une ébauche de dérapage le long d'une pente qui aurait pu le mener loin, l'auteur de ce récit quitte ses skis, suivant le sage exemple de ses prédécesseurs.» L'Echo des Alpes, 97 - M.J.-C.T.
1924 - «Contrairement à l'allégation de M. Krahnstöver, il est certain que le dérapage est un mouvement pratiqué spécialement à la montagne.» L'Echo des Alpes, 31 - M.J.
1928 - «Conversions sur la pente. Demi-tour face à la vallée. Normalement, c'est le pas glissé que l'on utilise pour monter. Mais comme il est impossible, sous peine de dérapage, de dépasser une certaine inclinaison, le skieur se voit souvent obligé de longer la pente par le travers ; il arrive alors un moment où il doit s'arrêter, faire demi-tour, reprendre la montée dans l'autre sens et la terminer en faisant de nouveaux zigzags. [...] Arrêt-Christiania. Le Christiania est un arrêt glissé, ne demandant qu'une faible dépense de force, mais exigeant d'autant plus d'agilité et d'équilibre. Il est élégant, 'coulant', et c'est de tous les arrêts le moins fatigant, par le fait qu'il est basé sur un glissement latéral ou dérapage, et non sur un freinage.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. BarblanL'Art du ski , 107 et 199 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
1930 - «L'allongement de la courbe dans un virage vissé dépend de la possibilité de dérapage une fois les skis rechargés après la rotation initiale ; lorsque la neige est très lourde le dérapage s'arrête presque immédiatement après le rechargement ; le virage doit par conséquent être virtuellement terminé au cours de l'allègement momentané des skis, et sera obligatoirement très serré.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, 75 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
dérapage en biais loc. nom. m. SKI - RSp., 1969, Gautrat ; GR[85], ø d ; absent TLF.
1938 - «Dérapage en biais : Dérapage en oblique par rapport à la pente.» La R. du ski, Noël, 230 - C.T.
1947 - «Le dérapage en biais sert d'intermédiaire entre le dérapage latéral et les christianias.» E. AllaisMéthode fr. de ski, 49 (Flèche) - M.J.
dérapage hélico-centrifuge loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1913 - «Nous saisissons cette occasion pour faire remarquer que M. le Dr Th.F. H... [...] dépeint d'une manière magistrale les atroces tortures physiques et morales endurées par les malheureux atteints par cette affection chronique qui, d'ordinaire, apparaît brusquement, sans symptômes précurseurs. Il fait également une subtile distinction entre le dérapage longitudinal et le dérapage latéral. Dans le cas qui nous occupe, il s'agit d'une variété plus complexe encore, que nous désignerons, jusqu'à plus ample informé, sous le nom éminemment explicite de 'dérapage hélico-centrifuge'.» L'Echo des Alpes, n° 12, déc., 509 - C.T.
dérapage latéral loc. nom. m. SKI - RSp., 1939, Sport-Santé ; in Ga [1969] ; absent TLF. 1939, in GR[85], correspond à ce syntagme
1913 - «Nous saisissons cette occasion pour faire remarquer que M. le Dr Th.F. H... [...] dépeint d'une manière magistrale les atroces tortures physiques et morales endurées par les malheureux atteints par cette affection chronique qui, d'ordinaire, apparaît brusquement, sans symptômes précurseurs. Il fait également une subtile distinction entre le dérapage longitudinal et le dérapage latéral. Dans le cas qui nous occupe, il s'agit d'une variété plus complexe encore, que nous désignerons, jusqu'à plus ample informé, sous le nom éminemment explicite de 'dérapage hélico-centrifuge'.» L'Echo des Alpes, n° 12, déc., 509 - C.T.
1930 - «Sur une pente glissante le dérapage latéral est souvent la meilleure méthode de descente. Le lecteur relira avec soin les remarques sur la façon de donner de la carre au chapitre X, page 100.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, 72 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1931 - «Dans les couloirs raides, le dérapage latéral a été pratiqué.» La Montagne, n° 230, janv.-févr., 41 - C.T.
1935 - «Couteaux à neige dure [...] Au printemps, lorsque le matin la neige est très dure ou le soir dès qu'elle regèle et qu'il faut faire une marche de flanc, l'emploi des couteaux Bilgeri est très recommandé. Ces couteaux ont 20 cm. de long et se fixent facilement sur le ski, sous le pied ; ils dépassent l'arête des skis de 8 à 10 mm. et s'incrustent dans la neige durcie et évitent le dérapage latéral. Il est dangereux de descendre avec les couteaux !» P. SchnaidtLa Technique du ski, 14 (Genève, Sonor) - C.T.
1938 - «Quant à moi, je me débrouille comme je peux, avec des stem-christianias presque tous désespérément 'liftés' pour hâter le retour au parallélisme. J'use même, quelle horreur ! du demi-tour de pied ferme et du dérapage latéral La Montagne, n° 297, avr., 112 - C.T.
dérapage latéral arrière loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1950 - «Le dérapage latéral est celui qui s'effectue selon la ligne de plus grande pente, vient-il d'être dit. On le nomme dérapage latéral 'pur' s'il est effectué skis toujours transversalement disposés par rapport à la ligne de plus grande pente, - dérapage latéral 'avant' si les spatules se trouvent au-dessous de la ligne horizontale passant par la fixation, - dérapage latéral 'arrière' si ce sont les talons qui se trouvent au-dessous de cette ligne.» A. JacquesSki de descente, 85 (Arthaud) - C.T.
dérapage latéral avant loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1950 - «Le dérapage latéral est celui qui s'effectue selon la ligne de plus grande pente, vient-il d'être dit. On le nomme dérapage latéral 'pur' s'il est effectué skis toujours transversalement disposés par rapport à la ligne de plus grande pente, - dérapage latéral 'avant' si les spatules se trouvent au-dessous de la ligne horizontale passant par la fixation, - dérapage latéral 'arrière' si ce sont les talons qui se trouvent au-dessous de cette ligne.» A. JacquesSki de descente, 85 (Arthaud) - C.T.
dérapage latéral pur loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1950 - «Le dérapage latéral est celui qui s'effectue selon la ligne de plus grande pente, vient-il d'être dit. On le nomme dérapage latéral 'pur' s'il est effectué skis toujours transversalement disposés par rapport à la ligne de plus grande pente, - dérapage latéral 'avant' si les spatules se trouvent au-dessous de la ligne horizontale passant par la fixation, - dérapage latéral 'arrière' si ce sont les talons qui se trouvent au-dessous de cette ligne.» A. JacquesSki de descente, 85 (Arthaud) - C.T.
dérapage longitudinal loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1913 - «Nous saisissons cette occasion pour faire remarquer que M. le Dr Th.F. H... [...] dépeint d'une manière magistrale les atroces tortures physiques et morales endurées par les malheureux atteints par cette affection chronique qui, d'ordinaire, apparaît brusquement, sans symptômes précurseurs. Il fait également une subtile distinction entre le dérapage longitudinal et le dérapage latéral. Dans le cas qui nous occupe, il s'agit d'une variété plus complexe encore, que nous désignerons, jusqu'à plus ample informé, sous le nom éminemment explicite de 'dérapage hélico-centrifuge'.» L'Echo des Alpes, n° 12, déc., 509 - C.T.