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cabine n.f. HABITAT "petit réduit, petite pièce" - TLF, ø d 1866, Lar., in GLLF et GR[85], correspond à la cabine de bain
1839 - «Ainsi sachez que mercredi prochain un ami vous attend rue Cassini dans sa cabine.» Balzac, Corresp., t.3, 58 (Garnier, 1960-66) - G.M.-D.
1848 - «Un jour, passant dans le long corridor noir qui conduisait à la chambre de M. Carrel, j'entends une voix sortir d'une cabine voisine.» Chateaubriand, Mém. d'Outre-tombe, t.4, 538 (Flammarion) - G.M.-D.
1848 - «C'était l'abattoir, la porte des cabines était ouverte. Les bouchers besognaient.» Flaubert, Par champs et par grèves, in Flaubert, Voyages, t.1, 289 (Les Belles Lettres, 1948) - G.M.-D.
cabine téléphonique loc. nom. f. TÉLÉCOMM. - TLF, 1890, Lar. 19e Suppl. ; GLLF, GR[85], ø d.
1883 - «CABINE TELEPHONIQUE [...] Cabine publique où l'on peut venir, à certaines heures, se mettre en communication téléphonique avec un abonné quelconque, moyennant une taxe.» Jacquez, Dict. d'électricité et de magnétisme, 26 (Klincksieck) - P.E.
1890 - «[...] on a créé des réseaux téléphoniques et des bureaux centraux ou stations centrales auxquelles sont reliés les postes microtéléphoniques des abonnés, ainsi que les cabines téléphoniques mises à la disposition du public dans les bureaux de poste ou dans des locaux spéciaux.» Lar. GDU, Suppl. 2 (s.v. téléphonie) - TGLF
cabine-couchette n.f. MAR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1926 - «[...] l'hydravion des lignes commerciales doit être pourvu de confortables cabines-couchettes [...]» Le Miroir des sports, 5 oct., 259c - G.S.
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