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bêche-de-mer n.m. LING. - Rs, PR[77], 1948 ; GLLF, 20e ; Lex.[75], ø d.
• bichlamar - Rs, PR[77], 1948 ; GLLF, ND4, 20e ; Lex.[75], ø d.
1911 - «Le dialecte canaque varie avec les tribus, mais celui qui est d'un usage courant est un jargon bizarre composé de mots canaques, français et anglais. On donne à ce langage composite le nom de Bichlamar, jargon surtout employé sur les côtes par les trafiquants de 'biche de mer', parlé par eux et les indigènes, et qui est un mélange de termes anglais et français ; ex. : 'mi no savais' (je ne sais pas).» Cottreau et Le Chartier, Indes, Extrême-Orient, Océanie, II, 458 (Libr. du Tourisme) - P.E.
1911 - «[adj.] Les Néo-Hébridais, dans leur jargon bichlamar désignent ceux qu'ils mangent par cette expression mimée 'good kaï-kaï' (bon à manger) [...]»Cottreau et Le Chartier, Indes, Extrême-Orient, Océanie, II, 530 (Libr. du Tourisme) - P.E.
bêche-de-mer n.m. LING. - GR[85], 1948 ; GLLF, 20e ; Lex.[79], ø d ; absent TLF.
• biche-la-mar - ø t. lex. réf. ; absent TLF. bichlamar : DDL 15, GR[85], 1911 ; GLLF, 20e ; Lex.[79], ø d
1885 - «On parle [à Nouméa] français, anglais, tous les patois et surtout le biche-la-mar, espèce de sabir [...]» L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, numéro 404, 10 mars, 156 - P.E.
pelle-bêche n.f. TECHNOL. AGRIC. "sorte de bêche" - FEW (1, 383a), Dict. univ. agric. [1793-1805] ; TLF, 1842, Acad., Compl.
• pesle besche - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1689 - «[...] une pesle besche de fer [...].» Montréal, Archives nationales du Québec, Greffe d'Antoine Adhémar, 25 avr., 9 - TLFQ
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