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accommodation (train d'-) loc. nom. rég.  Canada CH. DE FER "train en dehors des horaires habituels" - FEW (24, 82b), ø d ; absent TLF.
1880 - «Les trains de chemin de fer partiront et arriveront à la Station de Lévis tous les jours (le dimanche excepté) comme suit : [...] Train d'accommodation et malle. 9. 30 a.m. [...].» Le Nouvelliste, 4 déc., 4 (Québec) - TLFQ
1894 - «On dit encore, sur les chemins de fer : - Train d'accomodation, pour un train établi en dehors des heures régulières, et simplement pour accomoder certaines localités.» S. ClapinDictionnaire canadien-français (Les Presses de l'Université Laval, 1974) - TLFQ
arrière-train n.m. CH. DE FER - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1832 - «[...] la machine et son arrière-train [...]» Mercure ségusien, 8 août - Wexler, 111.
auto-couchette (train -) loc. nom. m. CH. DE FER - TLF, 1960, Defert ; PR[77], 1968 ; Rs, Lex.[75], ø d.
*1964 - «On confirme aujourd'hui que dès le printemps prochain des trains auto-couchettes circuleront sur cinq nouvelles relations.» Le Monde, 14 nov., 20 - B.D.
avant-train n.m. AUTOM. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1900 - «Le Guide [...] est donc destiné spécialement aux chauffeurs [...] qui font usage de bicyclettes, tricycles ou quadricycles, avec avant-trains ou remorques, et pourvus de moteurs à pétrole.» H. de GraffignyGuide-man. pratique du motocycliste, vi-vii (Paris)
boute tout cuire loc. nom. m. non conv.  CARACT.  "bon compagnon" - Mat.I (ø indic. gramm.), 1645, Muse normande ; FEW (15/I, 227a), 1658 ; DG, 17e, Scarron ; L, ø d ; absent TLF.
1606 - «[...] la Compagnie du Capitaine S. Picorien, sieur de mange viande preste, et de boute tout cuire, son premier sergent, et second tondeur de nappes [...]» La Victoire du soldat fr., 18 (s.l.) - P.E.
1640 - «[...] vn Boute tout cuire .i. vn bon compagnon. vulg.» OudinCuriositez fr., 57 (Slatkine) - P.E.
homme de train loc. nom. m. CYCL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1919 - «[...] se révélant homme de train incomparable, il parvint à recoller après une poursuite effrénée du peloton. C'est un homme de grand fond [...] à qui il manque seulement de la vitesse au sprint.» Vélo-Sport, 19 juill. - Lapaille, 11.
mise en train loc. nom. f. IMPRIM. "réglage de la pression sur les divers éléments de la forme" - TLF, DHR, 1834, Boiste ; FEW (6/II, 189b), GLLF, 1835, Acad.
1825 - «Après ces différentes opérations, il ne reste plus que la mise en train proprement dite, qui consiste dans le placement des supports, des housses et des feuilles découpées.» H. FournierTraité de la typographie, 248 (L'auteur et Sautelet) - J.Hé.
mise en train loc. nom. f. IMPRIM. "réglage de la pression sur les divers éléments de la forme" - TLF, DHR, 1834, Boiste ; FEW (6/II, 189b), GLLF, 1835, Acad.
• misentrain
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1835 - «Misentrain. - Du mobile [...] 4. Préalablement à la misentrain, il faut examiner la hauteur et l'aplomb de la gravure. Etant bien dressée, on doit lui laisser à peu près un point d'élévation sur le texte. D'abord on tire sèche et en noir la première feuille de misentrain et l'on rectifie les défauts du texte.» A. FreyMan. nouv. de typographie. Imprimerie, 2e part., 317-8 (Roret)cf. aussi : mise en pages - J.Hé.
snow-train n.m. d'apr. angl.-amér. CH. DE FER  TOURISME - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1937 - «Il y aura même cet hiver, au départ de New-York, non seulement des snow-trains, mais un snow-boat, un 'bateau des neiges', qui sera réservé aux skieurs uniquement et qui transportera des quantités d'Américains, destination Le Havre-Paris-Saint-Moritz.» La R. du ski, n° 1, janv., 10 - C.T.
train (du - où vont les choses) loc. phrast. non conv. PHRASÉOL. - GLLF, 1967, Rob. ; DEL, GR[85], TLF, ø d au - : GLLF, TLF, ø d
• du train dont les choses vont
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF. au - dont vont les choses : TLF, 1832, Dumas père ; GLLF, 1876, Lar.
1761 - «AMPHITRION. Je suis dans une situation à douter si je suis, ou qui je suis. SOSIE. Ma foi, écoutez donc, du train dont les choses vont, ce doute là ne me paroît que trop bien fondé...» GirauldEssai sur une traduction libre des comédies de Plaute, 179 (Impr. du Fort-Carré) - P.E.
train (faire du / un -) loc. verb. non conv. "faire du tapage" - TLF, 1739-47, Caylus ; FEW, GLLF, 1779, Mme de Genlis ; GR[85], ø d.
1721 - «Comme il ne faisait pas clair ils ne virent pas cela, et malheureusement pour eux il y avait dans la boutique un chien qui fit un train de tous les diables.» E.J.F. BarbierJourn. d'un bourgeois de Paris sous le règne de Louis XV, 15 oct., 50 (Coll. 10/18, 1963) - R.R.
train (prendre le -) loc. verb. non conv. DÉPLAC. "se sauver" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1887 - «Prends le -, run away, 'hook it'.» A. BarrèreArgot and slang , (s.v. train) - R.R.
1888 - «Se sauver. - A quelqu'un qui vous obsède, on dit : Prends le train RigaudDict. d'arg. mod., 372 (Ollendorff) - TGLF
train (être dans le -) loc. verb. non conv.  MODE  "fig. : être à la mode" - TLF, 1889, Bourget ; FEW (13/II, 163b), 1907, Lar. ; Rs, cit. Proust ; Lex.[75], PR[77], ø d.
v. 1889 - «[...] nous avons beau ne pas être du grand grand grand monde, nous autres petites bourgeoises, nous ne tenons pas à rester trop en arrière non plus. On est dans l'train, ou on n'y est pas. Dixi. - D'accord. Mais ton pauvre dogue géant [...] n'est-ce pas, eh bien ! il ne doit pas, lui, se trouver très heureux, 'dans l'train', s'il t'aimait ? [...]» E. d'HervillyTrop grande, 72 (Libr. d'éducation de la jeunesse) - G.S.
train baladeur loc. nom. m. MÉCAN. - TLF, 1907, L. Perissé ; R, Lex.[75], PR[77], ø d.
1905 - «Les appareils de changement de vitesse, quoique groupés autour d'un unique principe dit train baladeur, s'orientent vers l'adoption du double baladeur [...]» La Nature, numéro 1700, 23 déc., 58 - A.R.-J.De.
train d'engrenages loc. nom. m. MÉCAN. - FEW (13/II, 163b), 1907, Lar. ; TLF, cit. Soulier, 1916 ; PR[77], ø d.
1894 - «Ce moteur [...] actionne les roues d'arrière par un embrayage à friction et un train d'engrenages qui permet de marcher à trois vitesses normales différentes d'environ 6, 12 et 18 kilomètres par heure.» La Nature, II, 198 - Fr. mod., 43, 56.
train de ceinture (prendre le -) loc. verb. non conv. DÉPLAC. "s'en aller" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1882 - «Paraît qu'on a des peines de coeur, mon petit chat, de grosses peines de coeur... L'objet aimé a pris le train de ceinture, n'est-ce pas ? Et c'est pour cela qu'un beau brin de fille comme toi se désole et se rougit les yeux, comme si on ne repêchait pas des hommes à la douzaine, avec un bagage pareil !» R. Maizeroy, Le roman de Benoît Chanson, in La Vie pop., 9 avr., 99 - R.R.
train de plaisir loc. nom. m. CH. DE FER  LOISIRS - TLF, 1850, Journ. des ch. de fer fr. ; R, cit. Nerval, 1852 ; L, FEW (13/II, 163a), GLLF, 1872.
Add.DDL :
*1850 - «[...] ces pacifiques armées de touristes nouveaux que les 'trains de plaisir' ont porté cette année aux bords de la mer et jusque dans les grandes villes des pays étrangers ! C'est une bonne coutume et un utile divertissement que l'on a ainsi introduit dans nos moeurs [...]» Almanach du Magasin pittoresque pour 1851, 48 - P.E.
train de plaisir loc. nom. m. CH. DE FER  LOISIRS - DDL 21, TLF, 1850, Journal des ch. de f. ; GR[85], 1852, Nerval ; L, FEW (13/II, 163a), GLLF, 1872.
1847 - «Train de plaisir ! le joli nom !... la charmante invention !... et que cela donne envie de prendre le chemin de fer du Havre le samedi soir, pour revenir à Paris le dimanche avant minuit !» Almanach comique [...] pour 1848, 173 (Pagnerre) - P.E.
train de pneus loc. nom. m. AUTOM. - FEW (13/II, 163b), GLLF, 1933, Lar. ; R, Lex.[75], PR[77], TLF, ø d.
• train de pneumatiques
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
*1927 - «Les voitures lourdes sont des gouffres d'essence, ont de mauvaises reprises, et dévorent leur train de pneumatiques en 4.000 à 5.000 kilomètres.» Lar. mensuel, juill., VII, 454c - M.C.E.
train de pneus loc. nom. m. AUTOM. - FEW (13/II, 163b), GLLF, 1933, Lar. ; R, Lex.[75], PR[77], TLF, ø d.
• train de pneumatiques
 - DDL 16, 1927, Lar. mens. ; TLF, cit. Chapelain, 1956.
1912 - «[...] la voiturette / le ZEBRE / 3 fois plus vite / 2 fois 1/2 plus économique / que le Cheval / L'automobile LA PLUS ECONOMIQUE qui existe. / La seule Voiturette ne consommant que : 5 litres d'essence / 1/4 litre d'huile aux cent kilomètres / Un train de Pneumatiques pour 15.000 kilom [...]» L'Illustration, 1er juin, Annonces 2 - P.E.
train de réformes loc. nom. m. ADMIN. - TLF, cit. Druon, 1948 ; GR[85], v.1960 ; GLLF, 1964, Lar. ; DMC, cit. La Croix, 1968.
*1951 - «Pour la première fois depuis 1945, le chantage de la haute colonisation n'avait pas eu prise sur le gouvernement français. Le train de réformes avait été mis en route malgré l'avis des délégations dépêchées à Paris.» J. Rous, in Esprit, n° 4, avr., 612 - P.E.
train de secours loc. nom. m. CH. DE FER - GLLF, 1964, Lar. ; GR[85], ø d ; absent TLF.
1887 - «Il n'y avait ni morts ni blessés, quelques contusionnés seulement, car le train n'avait pas encore repris son élan et nous regardions, désolés, la grosse bête de fer estropiée, qui ne pourrait plus nous traîner et qui barrait la route pour longtemps peut-être, car il faudrait sans doute faire venir de Paris un train de secours MaupassantContes et nouvelles, Le Rosier de Madame Husson, t.2, 680 (A. Michel, 1959) - FRANTEXT
1937 - «De Burgos à la Sierra, les menaces descendaient plus vite que les trains de secours Malraux, L'Espoir, in MalrauxRomans, 437 (Gallimard, 1960) - FRANTEXT
train descendant loc. nom. m. CH. DE FER "train se dirigeant vers Paris" - GLLF, TLF, GR[85], ø d.
1864 - «Lorsque les lignes ont deux voies, ce qui est le cas général du réseau français, l'une est exclusivement affectée aux trains montans, c'est-à-dire s'éloignant de Paris, et l'autre aux trains descendans, ou revenant vers Paris. Ce sont les expressions consacrées, justes ou non, par lesquelles on désigne dans tout un service les deux directions contraires. On monte vers Strasbourg et Lille, on descend vers Paris.» J. Gaudry, in R. des deux mondes, t.51, 15 juin, 952 - M.C.
1890 - «Pourtant, cette idée du flot de foule que les trains montants et descendants charriaient quotidiennement devant elle, au milieu du grand silence de sa solitude, la laissait pensive, les regards sur la voie, où tombait la nuit. [...] Quand il soufflait dans sa trompe, une fois pour les trains descendants, deux fois pour les trains montants, il cherchait [...]» Zola, La Bête humaine, in ZolaLes Rougon-Macquart, 34 et 244 (Fasquelle, 1953) - FRANTEXT
train descendant loc. nom. m. CH. DE FER "train s'éloignant de Paris" - L [1864] ('train qui va vers la mer'), ø d ; absent TLF.
1870 - «Chem. de fer. Trains descendants, Ceux qui s'éloignent de la gare principale.» Lar. GDU , (s.v. descendant) - TGLPF
train en détresse loc. nom. m. CH. DE FER - GLLF, GR[85], ø d ; absent TLF.
1864 - «Un des cas les plus importans à prévoir était celui des trains dits en détresse, c'est-à-dire arrêtés par un accident sur le parcours, loin des disques et des cantonniers.» J. Gaudry, in R. des deux mondes, t.51, 15 juin, 955-6 - M.C.
train extraordinaire loc. nom. m. CH. DE FER - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1864 - «Le plus grand danger de rencontre est dû aux trains dits extraordinaires, qu'on n'a pas l'habitude d'attendre, comme les estafettes, les trains de plaisir, etc. Un signal particulier les annonce sur la voie. Ces trains ne circulent d'ailleurs que sur l'ordre direct du chef de mouvement, qui a fait leur part dans l'organisation primitive du service.» J. Gaudry, in R. des deux mondes, t.51, 15 juin, 956 - M.C.
1866 - «[...] mon cher Heredia, par suite d'actes imprudents et de manques de trains fort extraordinaires, je suis ici à l'hôtel, attendant 20 francs pour pouvoir regagner mes foyers à Saint-Brieuc.» Villiers de l'Isle-AdamCorresp., let. à J.-M. de Heredia, 88 (Mercure de France, 1962) - FRANTEXT
train mixte loc. nom. m. CH. DE FER - GLLF, 1876, Lar. ; FEW (6/III, 197a), 1878, Acad. ; R, Lex.[79], PR[82], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1873 - «Train [...] mixte ; der gemischte Zug ; Mixed train.» TolhausenDict. technologique fr.-all.-angl., 772 (Tauchnitz) - P.E.
train montant loc. nom. m. CH. DE FER "train s'éloignant de Paris" - TLF, cit. A. Daudet, 1883 1868, Littré, in GLLF, désigne le "train qui va de la mer vers Paris" ; cf. L, FEW (6/III, 107b)
1864 - «Lorsque les lignes ont deux voies, ce qui est le cas général du réseau français, l'une est exclusivement affectée aux trains montans, c'est-à-dire s'éloignant de Paris, et l'autre aux trains descendans, ou revenant vers Paris. Ce sont les expressions consacrées, justes ou non, par lesquelles on désigne dans tout un service les deux directions contraires. On monte vers Strasbourg et Lille, on descend vers Paris.» J. Gaudry, in R. des deux mondes, t.51, 15 juin, 952 - M.C.
1890 - «Pourtant, cette idée du flot de foule que les trains montants et descendants charriaient quotidiennement devant elle, au milieu du grand silence de sa solitude, la laissait pensive, les regards sur la voie, où tombait la nuit. [...] Quand il soufflait dans sa trompe, une fois pour les trains descendants, deux fois pour les trains montants, il cherchait [...]» Zola, La Bête humaine, in ZolaLes Rougon-Macquart, 34 et 244 (Fasquelle, 1953) - FRANTEXT
train sanitaire loc. nom. m. MILIT. - GLLF, 1964, Lar. ; R, Lex.[75], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1890 - «CHEMIN s.m. - Encycl. CHEMINS DE FER. [...] trains sanitaires. En temps de guerre, un des services les plus importants est celui de l'évacuation en arrière de l'armée des blessés et des malades. Lorsque la guerre de 1870 éclata, les trains sanitaires étaient organisés dans l'armée allemande ; la France n'était pas plus prête sur ce point que sur les autres. Aujourd'hui, cette lacune de notre organisation militaire est heureusement comblée.» Lar. GDU, Suppl. 2.
1905 - «[...] l'Installation des Blessés dans un Train sanitaire Russe.» Lectures pour tous, juill., 860, Légende - M.K.
train-ferry n.m. d'apr. angl. CH. DE FER - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1947 - «Un jour il filait à Bruxelles avec l'Etoile du Nord, la semaine suivante il expérimentait le nouveau train-ferry Paris-Londres.» DaninosLes Carnets du bon Dieu, 131 - R.R.
train-hôpital n.m. CH. DE FER  MÉD.  MILIT. 
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1905 - «Chacun des trains-hôpitaux contient au plus 200 couchettes.» Lectures pour tous, juill., 860 - M.K.
*1933 - «Plus loin, c'est Woolwich. Je l'ai vu, pendant la guerre, s'éveiller avec ses cent mille ouvriers dans l'aube d'hiver, lorsque les blêmes équipes de nuit étaient relevées au petit jour par des équipes de femmes, lorsque, sous la bruine, les trains-hôpitaux débarquaient des Flandres. Tandis que les soldats gazés, gangrenés, sanglants, étaient enfournés dans les ambulances, d'autres convois, des trains de munitions amenaient de chez Armstrong ou de chez Vickers des canons à tir rapide, des mitrailleuses, que nos officiers réceptionnaient [...]» P. MorandLondres, IV, 316 - R.R.
train-poste n.m. CH. DE FER - FEW (9, 164a), 1869 ; GLLF, TLF, 1872, Littré ; GR[85], ø d.
1864 - «Supposons que le chef de la gare de Blesme attende, pour expédier un train-poste vers Chaumont, l'arrivée d'un train de marchandises en retard qui doit venir de ce point par la voie unique : il appelle d'abord le stationnaire de Chaumont à l'aide d'une sonnerie électrique dont le bruit avertit l'appelé, fût-il à l'extrémité de sa gare.» J. Gaudry, in R. des deux mondes, t.51, 15 juin, 953 - M.C.
train-ski n.m. TOURISME  TRANSP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1935 - «Un train-ski en Pologne. - La Société Polonaise de la Propagande du Ski présenta, il y a trois ans, une manière toute nouvelle du tourisme à skis. Plusieurs wagons-lits, un wagon-restaurant et une voiture destinée au dépôt des skis et des bagages, formaient un train spécial qui, servant de logement roulant à plus de 200 skieurs, a parcouru pendant 10 jours les plus beaux environs des Carpathes polonaises.» La R. du ski, n° 2, févr., XXXIV - C.T.
train-tortue n.m. CH. DE FER  "omnibus" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1902 - «Arrivée à Grenoble à 8 h. 23 par un train-tortue venant de Valence.» R. mensuelle Touring-Club de France, janv., 37a - G.S.
train-éclair n.m. CH. DE FER - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Les 'tarribles' 'r' du Bas-Valais roulèrent avec le fracas d'un train-éclair sur une plaque tournante...» La Montagne, numéro 11, sept-oct., 290 - C.T.