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boutade n.f. CHORÉGR. - L (cit.), FEW (15/I, 211a), Voiture [av. 1648] ; GLLF, TLF, ø d.
*1668 - «C'est un raccourcy de Balet, une boutade de l'imagination, qui rencontrant un objet agreable familier et facile, se contente de peu d'Entrées, de peu d'appareil, et où l'on se pique seulement de faire paroistre un dessein bien formé, galant ou folastre, et bien executé. La pompe des habits n'y est pas recherchée, ny les autres beautez d'estude et de dépense. L'adresse, la belle execution suffisent.» M. de Pure, Idée des spectacles anciens et nouveaux, 304 [section XVIII, De la Boutade] (Brunet) - E.R.
*1680 - «[...] et je ne puis blâmer le Marechal de Camp, à qui Voiture reproche d'avoir recommencé la Boutade jusqu'à trente fois dans un Bal.» Mercure galant, Extraordinaire, Quartier de Juillet, 44 - E.R.
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