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bouleverser v.tr. AFFECT. "fig. : troubler" - FEW (14, 310a), 1835, Acad. ; TLF, 1842, Hugo ; R, cit. Maupassant ; DG, ø d ; PR[77], cit. Proust ; GLLF, Lex.[75], cit. Radiguet.
1796 - «FAUSTINE. Il est trop tard. J' sis décidée : et je m' marie. VALENTIN stupéfait. Bah ! FAUSTINE. Demain, sans faute. VALENTIN. Ah ! j' vous en prie n' nous faites-pas d' ces peurs là. C'est qu' çà boulevarse d' la tête aux pieds, voyez-vous.» Pigault-Lebrun, Les Sabotiers, 22 (Huet) - P.E.
1800 - «PIERRE la rattrapant. Dis-donc, dis-donc Babet, un instant ; sais tu ben que v'là qui dérange la thèse. Ah ! mon dieu, mais comme ça me boulverse.... laisse moi un peu faire mes réflexions.» C.G., D.T. et Bonnin, Deux et deux font quatre, 10 (Hugelet) - P.E.
1806 - «Mme LEDOUX. [...] Eh bien ! comment ça va-t-il ? LANTINET. Assez bien, cousine... C' n'est pas l'embarras, tout est perdu. Mme LEDOUX. Tout est perdu ! mais tu m' boulverses, mon p'tit homme.» Dieulafoy, Francis, Désaugiers, Dupaty, Une Matinée du Pont-Neuf, 15 (Barba) - P.E.
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