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bouffonnerie n.f. THÉÂTRE - TLF, cit. Mallarmé, 1874 ; GR[85], ø d.
1810 - «Il n'y a, en fait de comédie, que la bouffonnerie populaire.» G. de Staël, De l'Allemagne, 195 (Hachette, 1958-60) - G.M.-D.
1836 - «Et que vous assistiez à une bouffonnerie où Rome et Athènes seraient parodiés.» E. Quinet, Allemagne et Italie, 214 (Desforges, 1846) - G.M.-D.
1871 - «Puis on parla du premier mardi de la duchesse, d'une bouffonnerie qu'on avait joué la veille.» Zola, La Curée, in Zola, Les Rougon-Macquart, t.1, 346 (Fasquelle-Gallimard, 1960) - G.M.-D.
sous-bouffonnerie n.f. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1968 - «Le social, oui. Bien sûr, elle est trop noble pour être snob, et elle croit n'attacher aucune importance à ma sous-bouffonnerie générale. Mais son inconscient est follement snob, comme tous les inconscients, tous adorateurs de la force.» A. Cohen, Belle du seigneur, 305 (Gallimard) - C.T.
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