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bouffant n.m. COUTURE - L, DG, GLLF, Lex.[75], PR[77], ø d.
Add.DDL
*1842 - «Aujourd'hui, partie bouffante de la manche d'une robe.» Landais, Dict. - M.C.E.
Corr.TLF (cit. Balzac, 1847 ; même texte)
*1843 - «Les manches de la robe étaient pincées par des liserés pour diviser les bouffans [...]» Balzac, Esther ou Les Amours d'un vieux banquier, 3e part., ch. XL, in Le Parisien, 27 juin, [1ère page], col. 1pré-orig. d'un extrait de la 2e part. de Splendeurs et misères des courtisanes - M.C.E.
*1844 - «Ses bras maigris, durcis, paraissaient à peine sous les bouffans à effets calculés de ses manches larges.» Balzac, Les Petits manéges d'une femme vertueuse, I, ch. X, in Le Messager, 31 déc., [1ère page], col. 1pré-orig. d'une part. de Béatrix - M.C.E.
*1845 - «[...] double manche à bouffans divisés par des lisérés [...]» Balzac, Les Petits manéges d'une femme vertueuse, I, ch. XV, in Le Messager, 4 janv., [1ère page], col. 3 - M.C.E.
bouffant n.m. COUTURE - DDL 16, 1842, Landais ; L, DG, GLLF, Lex.[75], PR[77], ø d ; absent TLF.
1836 - Landais, Dict. - R. L. rom., 45, 247.
bouffant n.m. VÊT. - GR[85], 1836, Landais ; absent TLF.
1786 - «UN FICHU-MENTEUR (*) [Note :] (*) On appelle ainsi ces Bouffants ou Bouffantes, mouchoirs, qui montent, en forme de goëtre, au delà du menton.» Beffroy de Reigny, Les Lunes du Cousin Jacques, n° 26, déc., 16 - P.E.
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