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botté n.m. FOOTBALL
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1924 - «[...] avec une magnifique sécheresse dans le botté. Et la jambe qui frappe fait angle droit avec le corps.»Montherlant, Les Olympiques, in Romans et oeuvres de fiction non théâtrales, 292 (Gallimard) - CRTLF
*1937 - «Le botté sera commode lorsqu'il s'agira de recevoir une balle venant de côté et de l'envoyer droit devant soi.»Pefferkorn, Le Football-association, 83 - IGLF
botté (le pays d'où nul ne revient -) loc. nom. m. SANTÉ "la mort" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1614 - «[...] il le fit (tout soudain) mettre au crochet de peur des chats, ou l'enuoya faire (comme on dict) le basteleur en ce pays, d'où nul n'en reuient botté [...]» Le Réveil de maistre Guillaume, aux bruits de ce temps, 9 (s.l.) - P.E.
botté et éperonné (tout -) loc. adj. ÉQUIT. - GR[85], cit. P.-L. Courier [1802-25] ; TLF, cit. Loti, 1899.
1536 - «[...] ce qu'il feist sus l'heure, et tout botté et espronné vint dire à dieu à monsieur le révérendissime cardinal [...].» F. Rabelais, Oeuvres complètes, lettre, 982 (Gallimard, 1965) - P.E.
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