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bordj n.m. d'apr. ar. FORTIF.  Afrique du Nord- TLF, 1857, Fromentin ; FEW (19, 211a), Mat. I, BW5, ND2, GLLF, 1856, Fromentin.
Add.DDL :
*1852 - «Fort, château dans les Etats barbaresques, s'applique à tout poste fortifié.»La Châtre, Dict.
*1854 - P. de Molène, Les Soirées du Bordj - A.R.-J.De.
bordj n.m. d'apr. ar. FORTIF.  Afrique du Nord- DDL 6, 1852, La Châtre ; FEW (19, 211a), BW5, ND2, GLLF, 1856, Fromentin ; TLF, 1857, Fromentin.
• bourdj
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1820 - «[...] et un pont, et deux châteaux forts ; enfin une pyramide appelée tour par les gens du pays, c'est-à-dire par les Arabes chaldéens, dont le dialecte, comme l'hébreu et le syrien, n'a que le mot tour pour exprimer tout édifice saillant et élevé.»C.-F. Volney, Discours sur l'étude philosophique des langues, in C.-F. Volney, Oeuvres complètes, ch. 4, 107-8 (Didot, 1864) - J.S.
bordj n.m. d'apr. ar. FORTIF.  Afrique du Nord- DDL 6, 1852, La Châtre [repris in DHR] ; FEW (19, 211a), GLLF, 1856, Fromentin [d'ap. Mat.] ; TLF, 1857, Fromentin.
1846 - «[...] je me dépêche de reprendre des forces, car je dois installer l'agha dans son bordj, à Aïn-Méran.» A. de Saint-Arnaud, Let., II, 115 (M. Lévy) - P.E.