| ![]() ![]() ![]() ![]()
bonté de Dieu loc. interj. non conv. JURON - L, ø d ; TLF, cit. Bernanos, 1928 ; GR[85], ø d.
1596 - «M. [...] ie n'y entendray que le haut Allemand, et diray que toy-mesme tu radottes au plus creux de ton savoir. Sa. Bonté de Dieu, tu me fais mourir de rire ; ma joue s'en fend, et n'entends-tu pas autrement le turelutuautem ?» R. Mortier, Le "Hochepot ou Salmigondi des folz", 101 (Bruxelles, Palais des Académies) - P.E.
bonté divine ! loc. interj. non conv. JURON - TLF, cit. Hugo, 1838 ; DG, R, GLLF, Lex.[75], PR[77], ø d.
Add.DDL :
*1784 - «LA COMTESSE. Vous me trompez. SUZANNE. Bonté divine !» Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, in Beaumarchais, Théâtre, IV, iii, 265 (Garnier) - P.E.
*1786 - «[...] au-dessous de la chambre il y avait un four de Boulanger. Un four de Boulanger ! s'écria le malade ; bonté divine ! il y a donc trois mois que l'on me rôtit ?» Courier lyrique, numéro 12, 2e part., 93-94 - P.E.
bonté divine ! loc. interj. non conv. JURON - DDL 19, 1784, Beaum. [repris in GR] ; TLF, cit. Hugo, 1838 ; L, GLLF, ø d.
1766 - «CATAU [...] On frappe à la porte. Bonté divine ! n'est-ce pas là un esprit ?» Collé, La Partie de chasse de Henri IV, 81 (Gueffier) - P.E.
|