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bombardement n.m. CYCL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1955 - «On put applaudir alors au premier 'bombardement' des N.-E.-C., ces animateurs inlassables [...]» Les Sports, 9 juill. - Lapaille, 48.
bombardement n.m. ALP.  "chute de pierres ou de séracs" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1897 - «L'Aiguille du Déjeuner : des flaques de neige, éventrées comme par le soc d'une charrue, ne nous laissent aucun doute sur le sort qui nous serait réservé si nous attendions que le bombardement commençât.» R. alpine, numéro 2, févr., 38 - C.T.
1935 - «[...] un coup de tonnerre bien connu nous immobilise. Le glacier commence son bombardement. Par bonheur, notre voie d'ascension n'est pas trop exposée à la ligne de tir. Le sérac écroulé bondit à plus de trente mètres sur notre gauche.» La Montagne, numéro 273, nov., 350 - C.T.
contre-bombardement n.m. MILIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1893 - «On frémit à l'idée qu'une batterie de canons postée sur le promontoire où nous sommes ferait instantanément un tas de ruines de la riante cité [Menton] et de sa marina, si ce feu insidieux ne devait être éteint par un contre-bombardement opportun partant des crêtes françaises d'alentour.» J. Gourdault, La France pittoresque, XXXI, 459 (Hachette) - R.R.