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bohême n.m. MÉTIER TRANSP. "mauvais cocher" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1867 - «Les derniers [cochers], on les appelle les bohêmes. Ceux-là sont récalcitrans et parfois dangereux ; leur fouet est l'argument qu'ils emploient de préférence ; de punition en punition, ils en arrivent à l'exclusion du service ; la police correctionnelle les connaît, et souvent même la cour d'assises. Ce sont les déclassés, les paresseux, les incorrigibles, épaves incommodes que toute civilisation rejette sur ses bords.» M. Du Camp, in R. des deux mondes, t.69, 15 mai, 332 - M.C.
bohême doré loc. nom. m. HIST. MOEURS - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1859 - «Certain bohème doré de la plus vilaine espèce avait un oncle millionnaire que la Faculté venait de condamner.» P.-J. Martin, Les Bonnes bêtises, 42-43 (Magnin) - P.E.
grive de Bohême loc. nom. f. ORNITH. - FEW (4, 209a), 1851, Landais ; absent TLF.
1759 - Aubert de La Chesnaye des Bois, Dict. raisonné et univ. des animaux, II, 340a - R. L. rom., 41, 229.
1817 - «GRIVE DE BOHEME. C'est le JASEUR.» Nouv. dict. d'hist. nat. (Deterville)
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