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bogomile adj. RELIG. - absent TLF.
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*1964 - «La pierre brute a remplacé pour lui la tache de peinture et il a ainsi élevé des blocs granuleux comme des menhirs ou comme les stèles bogomiles de son pays natal, sans aucune affectation de mode.» L. Benoist, Panorama de la sculpture fr. 1964, in Tendances, oct., n° 31, 610-18 - D.J.
bogomile adj. RELIG. - TLF, cit. Renan, 1892 ; DDL 2, 1964.
1849 - «En 1140, un synode tenu à Constantinople condamna au feu les livres de Constantin Chrysomale, contenant des doctrines bogomiles, et lus avidement dans les monastères. - Selon M. Matter /Histoire critique du gnosticisme, 2e éd., 1844/ [...] le système cathare n'est 'qu'une sorte de résumé tronqué, de traduction occidentale' des doctrines bogomiles [...] Le système bogomile, tel que nous le connaissons, ne se montre que depuis la seconde moitié du onzième siècle, tandis que dès la fin du dizième on découvre des traces cathares en France.» C. Schmidt, Hist. et doctrine de la secte des cathares ou Albigeois, I, 14 et II, 263-4 (Paris-Genève) - J.Hé.
bogomile n. HIST.  RELIG. "membre d'une secte hérétique (11e-13e s.)" - TLF, GR[85], 1732, Trév.
1696 - «[...] ils ont porté le titre de Bogomiles, parce que ce terme signifie un homme qui implore la misericorde de Dieu.» Histoire des ouvrages des savans, juin-août, 433 (2e éd., Rotterdam, Leers, 1697-99) - P.E.