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bidouiller v.intr. ARG. TECHNOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1975 - «L'indépendant qui travaille pour son compte et vend les produits de son art au plus offrant, c'est le 'free lance', franc-tireur estimé et parfois envié de ses pairs. Il ne faut pas le confondre avec le 'petit coureur de piges', qui 'bidouille' ('bidouiller' est l'équivalent de mégoter, bricoler) et qu'on appelle également un 'bidouilleur'.» R. Beauvais, Le Français kiskose, 109 (Fayard) - K.G.
bidouiller v.tr. ARG. TECHNOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1983 - «à l'Est, Ernst Meyer, élève d'Eisler, proclame : 'La musique appartient au peuple et doit être comprise par le peuple.' Stockhausen bidouille ses machines, Eisler écrit pour les masses.» J. Drillon, in Le Monde, 21 janv., 7 - AFC
1984 - «Cyril [Neveu] ne s'en prend qu'à lui-même : 'S'orienter, bidouiller sa moto tout seul, c'est ça la piste. Quand on fait une connerie, il faut assumer. Ça fait du bien d'être vraiment seul, de lutter contre soi-même.'» Le Nouv. Observateur, 24 févr., 55 - AFC
bidouiller (se -) v.pron. ARG. TECHNOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1982 - «Pour en avoir goûté sur un appareil très répandu, je (A. Pochet) peux dire que beaucoup d'U.l.m. ne se pilotent pas. Ils se 'bidouillent' avec deux commandes, selon des sensations très brutes, dans les 'plages d'utilisation' très précises.» L'Express, 10 sept., 103 - AFC