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beauf n.m. abrév. de beau-frèrenon conv. FAMILLE - DFNC, v.1930 ; DArg., 1944 ; DDL 23 (beaufe), 1948 ; GR[85], ø d ; absent TLF.
• bof - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1960 - «Le monde est plus ou moins bavard, l'ennui est que ton bof, lui, a la langue double [...] ce 'corset' [...] dont le bof à Annie se moquait finement [...]» A. Sarrazin, Biftons de prison , 137 et 198 (Pauvert, Livre de poche, 1977) - K.G.
1960 - «[...] j'ai bien reçu la lettre de notre bof façon Eddie Constantine. [...] Il aurait pu apporter mamma, ce bof de malheur, puisqu'il ne travaille pas l'après-midi.» A. Sarrazin, Let. à Julien, 6 mars, 310 et 14 août, 403 (Pauvert, Livre de poche, 1973) - K.G.
beauf n.m. abrév. de beau-frèrenon conv. FAMILLE - DFNC, v.1930 ; DArg., 1944 ; DDL 23 (beaufe), 1948 ; GR[85], ø d ; absent TLF.
• bauf - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1974 - «[...] tu ouvres la porte de l'ascenseur... stupéfaction à tes yeux éberlués... t'as devant toi trois personnages connus... [...] elle, bien sûr, c'est [...] Bardot... [...] eux... c'est Gunther et le bauf à Bardot [...]» V. Thérame, Hosto-blues, 143 (Ed. des Femmes) - K.G.
beauf, beaufe n.m. abrév. de beau-frèrenon conv. FAMILLE - DFNC, v. 1930 (?) et cit. Le Breton, 1973 (beauf) ; GR[92], ø d ; absent TLF.
*1948 - «Un jour en 44, un gros type couché m'appelle et me dit : je me suis recommandé de vous, je suis un pote du beaufe de Chasseveau. Je ne connais que Chasseveau, il y a eu son beaufe, et son ami.» Paraz, Le Gala des vaches, 14 (Ed. de l'Elan) - K.G.
*1953 - Sandry et Carrère, Dict. de l'arg. mod. - K.G.
*1965 - «[...] un nez de poupée écrasé entre des joues fessues, du graillon partout, des mains velues, le beauf' est un boeuf, une limace géante [...]» Sarrazin, L'Astragale, 105 (Livre de Poche) - K.G.
beauf, beaufe n.m. abrév. de beau-frèrenon conv. FAMILLE - DFNC, v. 1930 (?) et cit. Le Breton, 1973 (beauf) ; GR[92], ø d ; absent TLF.
• beauffe - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1965 - «Le beau-frère : le beauffe.» Giraud, Le Royaume d'argot, 12 (Denoël) - K.G.
beauf, beaufe n.m. abrév. de beau-frèrenon conv. , péjor. CARACT. VALEUR "homme aux idées étroites, conservateur et phallocrate" - DFNC, v. 1970, Cabu ; GR[92], cit. Merlino.
*1976 - «[...] les chefs ! ... les gros 'beaufs' de l'atelier ... ceux qui parlent de la chasse ... avec les gros estomacs et les moustaches ... les cons sanguinaires typiques [...]» Thérame, La Dame au bidule, 318 (Ed. des Femmes) - K.G.
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