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barytonner v.intr. MUS. - Gc, Hu, Lem. de B., Epistre Amant vert.
Corr.TLF (même texte, 1513)
1511 - «Là maint gosier barritonnant bondit / Qui lay pronunce ou balade accentue, / Virelay vire ou rondel arrondit.»Lemaire de Belges, La Concorde des deux langages, 20, vers 304-6 (Droz, 1947) - J.S.
barytonner v.intr. MOUV. "se tenir comme un baryton" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1877 - «Pendant la lecture du discours, lecture qu'il n'a pas faite lui-même [...] Je redoutais qu'on ne fût obligé de l'attacher [le sultan Abdul-Hamid] au trône d'or massif, le trône de Sélim, devant lequel il se tenait debout, appuyé sur son grand sabre, et barytonnant du torse, comme un homme qui va tomber.» Let. de Turquie (Corresp. spéciale), 22 mars, in Le Rappel, numéro 2576, 30 mars, 2 - J.Hé.
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