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baisade n.f. non conv. ÉROT. - Mat., 1850, Flaubert [repris in TLF, DFNC (s.v. baise)].
1845 - «[...] il est douteux que je fasse plus, à moins qu'elle ne m'y invite très ostensiblement. La baisade ne m'apprend plus rien. Mon désir est trop universel, trop permanent et trop intense pour que j'aie des désirs.» Flaubert, Corresp., 13 mai, I, 230 (Gallimard) - P.E.
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