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ambivalence n.f. PSYCHOL. - TLF, 1911, Ch. Ladame et 1924, Freud ; GR[85], 1911 ; GLLF (sens gén.), déb. 20e ; Lex.[79], ø d.
*1913 - «L'ambivalence de beaucoup de nos impressions (c'est-à-dire le fait qu'un objet nous inspire des sentiments contraires, nous attire par certains côtés et nous repousse par d'autres) est un des points dont Bleuler met bien en lumière l'importance capitale dans beaucoup de conflits de la vie psychique.» Th. Flournoy, c.r. : Bleuler, in Arch. de psychol., t.13, 195 - M.C.
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