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a contrario loc. adv. d'apr. lat. LOG. - Lex.[79], PR[82], 1926 ; R, cit. Lalande ; absent TLF.
Add.DDL
*1792 - «[...] en Néomanie, tout nouveau, tout beau. - 'Tant que cela est nouveau,' dit Madame Jer'nifle. Et ce n'étoit pas la peine de m'interrompre par cette réflexion : qu'est-ce qui ne connoît pas l'argumentation a contrario !» [Gorgy], 'Ann'quin Bredouille, III, 84 (Louis) - P.E.
a contrario loc. adv. d'apr. lat. LOG. - DDL 25, 1792 ; GR[85], 1926 ; absent TLF.
1564 - «Je lui demande premierement que c'est à dire bourgeois, et si à la rigueur de l'etymologie, ce mot ne devroit pas signifier un villageois et non un citoyen, comme il signifie ordinairement. Voila le commun usage qui le refute (comme on dit) a contrario.» F. Chrestien, in La Polémique protestante contre Ronsard, II, 473 (Didier) - P.E.
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