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allo-érotique adj. PSYCHANAL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1927 - «En reconstruisant la mentalité de l'enfant on aboutissait à une nouvelle conclusion : ce processus rétablissait une situation primaire, car, le moi de l'enfant ayant été son premier objet d'amour, cette inversion des impulsions allo-érotiques équivalait effectivement au retour de ces impulsions vers leur source première.» E. Jones, La conception du Surmoi, Communication, 5 avr., in R. fr. de psychanal., 1ère année, numéro 2, 328 - M.C.
anti-érotique adj. MÉD. - ø t. lex. réf. ; absent TLF. sens gén. : DMC, cit. Le Monde, 1966
1816 - «Le Vitex agnus castus et le Vitex trifolia sont l'une [sic] et l'autre cités comme réfrigérans et anti-érotiques ; mais ces propriétés ont besoin d'être rectifiées et analysées.» A.P. de CandolleEssai sur les propriétés médicales des plantes, 234 (Crochard) - P.E.
auto-érotique adj. PSYCHANAL. - DDL 20 (autérotique), GR[85], 1918, F. Morel ; TLF, cit. Mounier, 1946 ; Lex.[79], v.1950.
1912 - «Ce n'est pas ici le lieu de reproduire en détail les idées de l'ingénieux savant viennois [Freud], qui, d'une manière générale, attribue à l'enfant une sexualité autoérotique d'un type uniformément masculin. A la puberté, l'instinct sexuel perd ce caractère autoérotique pour se fixer sur un objet étranger.» L. Schnyder, Le cas de Renata, contribution à l'étude de l'hystérie, in Arch. de psychol., t.12, 255 - M.C.
1913 - «Il [Bleuler] critique également l'idée freudienne que la sexualité humaine serait d'abord exclusivement auto-érotique, et qu'une évolution spéciale serait nécessaire pour que la libido se porte sur un objet extérieur à l'individu [...].» Th. Flournoy, c.r. : Bleuler, in Arch. de psychol. , t.13, 195 - M.C.
1914 - «[...] toutes les variations, dans le sens le plus large, du développement érotique, tous les manquements, toutes les fautes sexuelles (Noxen) peuvent être mises chez eux [les névropathes] en évidence ; depuis l'inversion banale, jusqu'aux tendances incestueuses, auto-érotiques, etc.» E. Régis et A. Hesnard, La Psychoanalyse des névroses et des psychoses, 64-65 (Alcan), cité in Annales médico-psychol., II, 81 (1918) - M.C.
autoérotique, auto-érotique adj. PSYCHANAL. - TLF, cit. Mounier, 1946 ; Lex.[75], v. 1950 ; Rs, PR[77], mil. 20e.
• autérotique
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1918 - «Et sa vie sexuelle, autérotique au début, subit une longue interruption, qui remet à beaucoup plus tard, c'est-à-dire à la puberté, le soin de s'attacher à un objet extérieur.» F. MorelEssai sur l'introversion mystique, 20 (Thèse, Genève) - H.F.
hallucination érotique, hallucinations érotiques loc. nom. f. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1906 - «On lit dans Pitres que les hallucinations érotiques ont joué un rôle important dans la symptomatologie des grandes épidémies d'hystéro-démonopathie : les Ursulines de Loudun croyaient recevoir la nuit la visite d'Urbain Grandier.» J.-B. Buvat, L'érotisme dans l'hystérie, in R. de psychiatrie, 10e année, 239 - M.C.
érotique n.f. ÉROT.  "conception de l'amour" - TLF, cit. Thibaudet, 1936.
*1963 - In titre : R. NelliL'Erotique des troubadours (Toulouse, Privat) - J.S.
*1964 - «[...] divers travaux nous éclairent 1' érotique chinoise, en son principe affranchie de la malédiction judéo-chrétienne [...]» EtiembleConnaissons-nous la Chine ?, 113 (Gallimard) - J.S.
érotique n.f. LITT.  "genre" - TLF, cit. Thibaudet, 1936 ; DDL 1, 1963.
1827 - Erotique comparée, ou Essai sur la manière essentiellement différente dont les poètes français et allemands traitent l'amour, tableau très piquant de la sensualité et de la spiritualité qui dominent dans la poésie érotique des deux peuples. Stapfer, Villers (Charles de), in Biographie universelle (Michaud) - J.Hé.
érotique n.m. LITT.  "auteur" - TLF, cit. Goncourt, 1856 ; L, GLLF, Lex.[75], 1864 ; R, ø d.
1619 - «Je vous envoye l'indice des pièces dont sera composé ce premier volume d'erotiques anciens, mais il y en manque plusieurs, [...] et specialement Chariton [...]» PeirescLet., VII, 402 (Impr. nat.) - P.E.
érotique n. PSYCHOPATHOL.  "désigne une personne" - absent TLF.
Add.DDL
*1930 - «Les invertis, les morphinomanes, les alcooliques et les érotiques [...] auront donné du sabbat une inoubliable vision, dans un décor de toiles peintes par des mattoïdes internationaux et dans des clameurs d'Aïssaouas.» C. MauclairLes Métèques contre l'art fr., 42 (Ed. de la Nouv. r. critique) - G.S.
érotique n. PSYCHOPATHOL.  "désigne une personne" - DDL 17, 1930, C. Mauclair ; absent TLF.
Add.DDL :
*1906 - «La méfiance du persécuté, l'orgueil du mégalomaniaque, la lascivité de l'érotique, le recueillement du mystique, la tristesse du mélancolique, tout ces états d'âme en un mot n'ont pas une expression mimique différente de celle qui traduirait des sentiments analogues chez un sujet normal.» G. Dromard, Essai de classification des troubles de la mimique chez les aliénés, in Journ. de psychol., 3e année, 6 - M.C.
érotique n.f. PSYCHANAL.  "aptitude à éprouver des sensations de plaisir érotique" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1927 - «L'analyse mit ensuite en valeur le rôle important de l'érotique anale et olfactive chez ce sujet, tendances renforcées par le refoulement de la virilité. [...] Nous n'entrerons pas ici dans les considérations ayant trait aux parts relatives, dans la génitalité finale de la femme, des érotiques uréthrale et anale (clitoris et vagin).» R. fr. de psychanal. , 1ère année, numéro 1, 5 et 174 - M.C.
érotique n. PSYCHOPATHOL. "désigne une personne" - DDL 29, 1906 ; absent TLF.
1893 - GélineauMaladies et hygiène des gens nerveux, 392 (O. Doin) - Fr. mod., oct. 1988, n° 3/4, 285.