| AVOCAILLON, subst. masc. Fam. et péj. Avocat médiocre : ... le sérieux répandu sur son visage le maquillait comme une crème, le fait est que MeMéliset avait une autre allure que le mari de ma mère! Ce n'était point l'avocaillon souhaité, aussi peu brillant sous l'orme qu'il l'avait été sous notre toit.
H. Bazin, Qui j'ose aimer,1956, p. 119. Rem. 1reattest. 1893 (Bloy, Journal, p. 76); dér. de avocat1*, suff. -aillon* (-aille* et -on*). PRONONC. : [avɔkajɔ
̃]. STAT. − Fréq. abs. littér. : 2. |