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AUTO(-)DESTRUCTION,(AUTO DESTRUCTION, AUTO-DESTRUCTION) subst. fém.
PSYCHOL. Destruction de soi par soi-même :
1. Toutes ces difficultés l'amenèrent [Freud] à introduire, à côté des instincts de vie (libido, instinct de conservation du moi), des instincts de mort, tendances à l'autodestruction qui se manifestent en particulier à travers la compulsion de répétition et, fondus avec la libido, dans le sadisme et le masochisme (1920). Hist. de la sc.,1957, p. 1699.
P. ext. :
2. ... il ne peut que nous être agréable d'assister au travail d'auto-destruction que fait la physique moderne de tous les concepts de l'ancienne physique qui semblaient être irréductibles à la forme et à sa seule structure. Ruyer, Esquisse d'une philos. de la struct.,1930, p. 282.
Rem. 1reattest. 1898 (L. Daudet, Alphonse Daudet, p. 121 : un pouvoir d'autodestruction surprenante [en parlant de Nietzsche]); composé de destruction* et de l'élément préf. auto-1*.
PRONONC. : [ɔtɔdεstʀyksjɔ ̃] ou [otɔ-]. Cf. auto-1.
STAT. − Fréq. abs. littér. : 5.
BBG. − Schmidt (H.). Fr. vivant. Rech. lexicol. Praxis. 1969, t. 16, p. 183.