| * Dans l'article "APICULE,, subst. masc." APICULE, subst. masc. BOT. Petite pointe terminale d'un organe, de consistance molle. DÉR. Apiculé, ée, adj.Qui est muni d'un apicule (cf. É.-A. Carrière, Encyclop. horticole, 1862, p. 29);1reattest. 1838 (Ac. Compl. 1842), suff. -é*. PRONONC. − Seule transcription ds Littré : a-pi-kul-l'. − Dér. Apiculé. Seule transcription ibid. : a-pi-ku-lé, fém. lée. ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1587 gramm. « petit signe » (La Bodinière, Harm., p. 446 ds Gdf. Compl. : Iod est la moindre lettre de l'alphabet de la langue saincte, et le plus petit signe ou apicule est un point ou accent [et p. 449, ibid.]) attest. isolée; 2. 1838 bot. (Ac. Compl. 1842).
1 empr. au lat. médiév. apiculus (dér. de apex), attesté au sens de « caractère, lettre » ds Mittellat. W. s.v.; 2 dér. du lat. apex, apicis (apex*); suff. -ule*. BBG. − Forest. 1946 (s.v. apiculé). − Fournier 1961 (s.v. apiculé). − Littré-Robin 1865 (s.v. apiculé). − Mots rares 1965 (s.v. apiculé). − Séguy 1967. |