| ![]() ![]() ![]() ![]() AIGRE-DOUCEUR, subst. fém. Néol. d'aut. Qualité de ce qui est aigre-doux : Testevel grondait : « Sénac est insupportable », pourtant il était sensible à cette aigre-douceur, à cette cynique tendresse.
G. Duhamel, Chronique des Pasquier,Le Désert de Bièvres, 1937, p. 175. Étymol. ET HIST. − 1574 « qualité de ce qui est à la fois aigre et doux » sens propre (Perrin, 27 cité par Vaganay ds Z. rom. Philol., t. 28, p. 582 : L'aigre-douceur y a masqué le fiel), attest. isolée. − Nouvelle création au xxes. (supra).
Dér. de aigre-doux*; suff. -eur1*. STAT. − Fréq. abs. litt. : 1. |