| ![]() ![]() ![]() ![]() ADMITTANCE, subst. fém. PHYS., ÉLECTR. ,,Notion inverse de celle d'impédance.`` (Arnaud 1966) : 1. L'impédance d'un circuit mesure, en ohm, la difficulté qu'il y a, pour une force électromotrice donnée, à faire parcourir ce circuit par un courant. L'admittance en est l'inverse, c'est-à-dire qu'elle est d'autant plus grande que l'impédance est plus faible; plus elle est élevée, plus le circuit « admet » facilement le passage d'un courant.
Arnaud1966. − Admittance acoustique : 2. La théorie de la réflexion et de l'absorption du son par les cloisons poreuses est encore très incomplète; l'auteur propose un nouveau développement en introduisant une certaine grandeur qu'il appelle « admittance acoustique »...
Le Journal de physique et le Radium,1928, p. 627. Prononc. : [admitɑ
̃:s]. Étymol. ET HIST. − 1928 électro-acoustique (Walfers Compte rendu de E. T. Paris, art. paru ds Proc. roy. Soc., 115 (1927), 407-419 ds Journal de Phys., p. 627 D, supra ex. 2.
Empr. à l'angl. admittance (dep. 1589, encore en usage comme terme gén. « action de faire entrer, permission d'entrer ») non attesté ds NED, ni ds DAE comme terme de phys., mais ds J. G. Gerald Belle-Isle, Dict. techn. génér. angl.-fr., 1965; l'angl. admittance a prob. été repris dans cette accept. techn. sous l'influence de son anton. impedance, terme de phys. dep. 1886 ds NED (de to impede « obstruer ») comme l'indique leur unité respective ohm et mho. STAT. − Fréq. abs. litt. : 1. BBG. − Arnaud 1966. − Électron. 1963-64. − Pir. 1964. − Siz. 1968. |