| ![]() ![]() ![]() ![]() ACROCYANOSE, subst. fém. MÉD. Cyanose permanente des extrémités (surtout les mains, quelquefois les jambes et plus rarement les oreilles ou le nez) due à un trouble circulatoire ou à une gêne de l'hématose et qui s'observe surtout chez les sujets jeunes et particulièrement dans le sexe féminin : 1. Il y a des familles où la plupart des sujets ont tendance ..., à la cyanose et au refroidissement des extrémités (acrocyanose), ...
Apert ds(F. Widal, P.-J. Teissier, G.-H. Roger, Nouveau traité de médecine,fasc. 8, 1920-1924, p. 119). 2. Aussi observe-t-on fréquemment chez les hypothyroïdiens... l'acrocyanose, ...
Apert ds(F. Widal, P.-J. Teissier, G.-H. Roger, Nouveau traité de médecine,fasc. 8, 1920-1924p. 139. 3. L'hypertension veineuse, avec acrocyanose, a été signalée comme en rapport avec l'insuffisance ovarienne.
Apert ds(F. Widal, P.-J. Teissier, G.-H. Roger, Nouveau traité de médecine,fasc. 8, 1920-1924p. 397. Prononc. : [akʀ
ɔsjano:z]. Cf. cyanose. Étymol. ET HIST. − 1896 méd. (Crocq, Arch. de neurol., Paris, 2 s., ii, p. 218-224 d'apr. Index medicus, 1896); cf. Encyclop. médico-chir., art. Cœur** (4) 321 A-10 9c : Acrocyanose : en 1896, Crocq donnait le terme d'acrocyanose à une cyanose permanente froide et non douloureuse des extrémités distales.
Composé de l'élément préf. acro-* et de cyanose*. BBG. − Garnier-Del. 1961 [1958]. − Quillet Méd. 1965, p. 300. |