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ÉLOGE n. m.
XVIe siècle euloge. Emprunté du latin elogium, « inscription tumulaire », qui vient du grec elegeion, « épitaphe en distiques » (voir Élégie), mais avec attraction du grec eulogia, « beau langage », d'où « louange ».
1. Discours à la louange de quelqu'un ou de quelque chose. Rédiger, prononcer un éloge. Éloge funèbre, célébrant les mérites et les œuvres d'un défunt. Le nouvel académicien prononce l'éloge de son prédécesseur. • Titre célèbre : Éloge de la folie, d'Érasme (1511).
2. Par ext. Parole de louanges, marque d'estime, d'admiration, exprimée publiquement. Décerner, donner, adresser de vifs éloges à quelqu'un. On fait de grands éloges de lui, on ne tarit pas d'éloges sur lui. Couvrir quelqu'un d'éloges. Un concert d'éloges. Une attitude digne d'éloge. On parle avec éloge de lui, de son talent, de son œuvre. L'éloge d'un objet quelconque était un exercice traditionnel de rhétorique. Expr. C'est à son éloge, tout à son éloge, ou (vieilli) cela fait son éloge, cela témoigne en sa faveur, souligne son mérite. Cet exploit est au-dessus de tout éloge.