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PROTÉGER v. tr.
(se conjugue comme Alléger). XIVe siècle. Emprunté du latin protegere, « couvrir, abriter ; protéger, garantir », lui-même composé de pro, « en avant, devant », et tegere, « couvrir ; cacher, protéger ».
1. Veiller sur quelqu'un, lui prêter secours et appui. Que Dieu les protège ! Les chevaliers avaient le devoir de protéger les plus faibles. Protéger la veuve et l'orphelin, secourir les malheureux, les opprimés. Par anal. La loi protège la personne aliénée. • Par ext. Garantir, mettre à l'abri de quelque danger, dommage ou dégât. Les poumons et le cœur sont protégés par la cage thoracique. Le paratonnerre protège de la foudre. La Grande Muraille protégeait la Chine contre les invasions mandchoues. Pron. Quand elle est attaquée, la seiche se protège en émettant de l'encre. Se protéger de la pluie, du froid ou contre la pluie, le froid. Au participe passé, adjt. Une espèce protégée, qu'on cherche à préserver de l'extinction. Passage protégé, passage délimité réservé aux piétons pour la traversée de la chaussée. • Spécialt. Couvrir, gainer un objet, une chose pour qu'ils ne puissent constituer un danger. En escrime, une mouche protège la pointe des fleurets, des épées, des sabres.
2. Soutenir une personne, contribuer à sa fortune, s'intéresser à sa réussite ; veiller au développement, au progrès d'une entreprise. Les Médicis protégèrent de grands artistes. Protéger les lettres, les sciences. • Au participe passé, subst. User de son influence en faveur d'un protégé. Il appuie la candidature de sa protégée.