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PLEUVOIR v. impers. et intr.
(il pleut ; il pleuvait ; il plut ; il pleuvra ; il pleuvrait ; qu'il pleuve ; qu'il plût ; il a plu). XIIe siècle. Issu, par l'intermédiaire d'une forme populaire plovere, du latin classique pluere, de même sens, lui-même tiré d'une racine *plu-, *flu-, marquant l'action de couler.
1. V. impers. Il pleut, il tombe de la pluie. Il commence à pleuvoir. Il pleuvra avant peu. Il a plu pendant toutes les vacances. Qu'il pleuve ou qu'il vente, nous sortons chaque jour. « Il pleut, il pleut, bergère », premières paroles d'une vieille chanson française. Loc. et expr. Il pleut à verse, à flots, à torrents, à seaux et, pop., il pleut comme vache qui pisse, abondamment. • Suivi d'un sujet réel. Il pleuvait de grosses gouttes, des trombes d'eau. Expr. fig. Il pleut des cordes, des hallebardes, il pleut violemment, sans discontinuer. Par anal. Tomber en grande quantité, en grand nombre, de manière serrée et rapprochée. Il pleuvait des obus sur la ville. Fam. Comme s'il en pleuvait, en abondance. Il dépense l'argent comme s'il en pleuvait.
2. V. intr. Tomber, s'abattre en quantité sur quelqu'un ou quelque chose. Dieu fit pleuvoir le feu et le soufre sur Sodome et Gomorrhe. On fit pleuvoir sur eux une grêle de pierres, de flèches. Les balles pleuvaient autour d'eux. Fig. Les critiques pleuvent de tous côtés.