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FERMETÉ n. f.
XIIe siècle, au sens de « forteresse ». Emprunté du latin firmitas, « solidité ».
1. Qualité ou état de ce qui est solide, consistant, de ce qui offre une certaine résistance. La fermeté d'un sol. Une venaison qui a de la fermeté.
2. Qualité de ce qui n'hésite ni ne faiblit, de ce qui manifeste de la sûreté, de la force, de la vigueur dans le geste ou le mouvement. Fermeté de reins, de jarret. Fermeté de la main. Se dit, en particulier dans le domaine des beaux-arts, de ce qui dénote dans l'exécution l'assurance, la précision, la hardiesse. Fermeté du crayon, du trait, du coup d'archet. Par ext. La fermeté du style de Tacite tient à sa concision. • Par anal. Fermeté d'esprit, de jugement.
3. Qualité d'une personne qui ne se laisse pas ébranler, fléchir ou abattre, qui fait preuve d'autorité, de détermination, de constance. Ses parents manquent de fermeté. Il a montré une grande fermeté dans l'adversité. Fermeté d'âme. Par méton. Manière d'agir ou de s'exprimer qui révèle cette qualité. Allier la douceur à la fermeté. Prôner, pratiquer une politique de fermeté. Parler, répondre avec fermeté. Par ext. Une grande fermeté de ton. La fermeté du regard. • Par anal. BOURSE. Le fait de se maintenir à un niveau satisfaisant, de résister avantageusement aux fluctuations du marché. Fermeté des cours. La fermeté d'une valeur, d'une monnaie.