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DÉCHÉANCE n. f.
XIIe siècle, decaance, au sens 1 ; XVIIe siècle, au sens 3, en parlant d'un droit et XVIIIe siècle, en parlant d'une fonction. Dérivé de déchoir.
1. Le fait de déchoir ; état de celui qui est déchu. Il est l'artisan de sa propre déchéance. Après les hautes fonctions qu'il a remplies, sa situation présente est une déchéance. Il a le sentiment de sa déchéance.
2. Délabrement physique ou mental, décrépitude. Nous l'avons trouvé dans un état de complète déchéance. La maladie hâta sa déchéance.
3. DROIT. Retrait d'un pouvoir, d'une prérogative, à titre de sanction ; perte d'un droit, d'une qualité. Déchéance de la puissance paternelle. Il est obligé de respecter cette clause à peine de déchéance. Spécialt. Destitution, déposition d'un souverain ou du titulaire d'un mandat électif. Le Sénat prononça la déchéance de Napoléon Ier.