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I. DEVISE n. f.
XIIe siècle, au sens de « division, séparation » ; comme terme d'héraldique, a d'abord désigné une bande de l'écu ; le sens moderne date du XVIIe siècle. Déverbal de deviser (voir Diviser).
1. HÉRALD. Formule inscrite sur le listel ou, s'il s'agit d'un ordre de chevalerie, sur le collier qui accompagne l'écu dans les armoiries. La devise qui figure sur les armes du Royaume-Uni est « Dieu et mon droit ». La devise d'une ville, d'une corporation. Par ext. Figure emblématique accompagnée d'une courte phrase qui l'explique. La devise de François Ier était une salamandre au milieu des flammes, celle de Louis XIV un soleil éclairant le monde. Le corps de la devise, la figure. L'âme de la devise, la sentence qui accompagne cette figure. Par méton. Cette sentence elle-même. Choisir une devise. Graver une devise.
2. Formule concise affirmant les idéaux et les symboles choisis par un groupe, un gouvernement, un État, etc. Une devise patriotique, républicaine. « Tous pour un et un pour tous » était la devise des trois mousquetaires. La devise de la République française est « Liberté, Égalité, Fraternité ».
3. Sentence qui exprime brièvement les manières de penser, de sentir, d'agir propres à quelqu'un, sa règle de conduite. Plutôt souffrir que mourir, telle est, selon La Fontaine, la devise des hommes. Diversité, c'est ma devise. J'ai pris cette pensée, ces paroles pour devise.