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CONVENANCE n. f.
XIIe siècle, au sens de « accord, pacte ». Dérivé de l'ancien français convenant, participe présent de convenir, et aussi substantif (voir Covenant).
1. Conformité, appropriation, accord, correspondance. La convenance de l'expression à la pensée. Convenance d'humeur, de caractère, de goût, d'opinions. Spécialt. Mariage de convenance, où les considérations de naissance et de fortune sont prépondérantes (on dit aussi Mariage de raison).
2. Ce qui plaît à quelqu'un, ce qui lui convient. Auj., surtout dans la loc. prép. À la convenance de quelqu'un, à son choix, à son gré. Vous pouvez venir le matin ou l'après-midi, à votre convenance. Il n'a jamais agi qu'à sa convenance, selon son bon plaisir. Trouver quelqu'un à sa convenance, à son goût. ADM. Expr. Pour des raisons de convenances personnelles ou, ellipt., pour convenance personnelle, pour des raisons qui concernent la vie personnelle et qu'on n'est pas tenu de formuler. Il a demandé un congé pour convenances personnelles.
3. Le plus souvent au pluriel. Les convenances, ce qui est conforme aux règles, aux usages de la société, au savoir-vivre, à la bienséance. Les convenances sociales, mondaines. Observer, respecter les convenances. Manquer aux convenances. Ne pas se soucier des convenances. Braver les convenances. C'est contraire aux convenances. Au sing. Raisons de convenance, de pure bienséance. Des raisons de convenance l'ont conduit à agir ainsi. Par convenance, par politesse. Si je me suis tu, c'est par convenance.