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DORER v. tr.
XIIe siècle. Du bas latin deaurare, « dorer », dérivé de aurum, « or ».
1. Recouvrir d'une mince couche d'or ou d'une matière ayant l'apparence de l'or. Dorer un calice, le cadre d'un tableau. Dorer au feu, au mercure. Dorer à la feuille. Dorer par électrolyse. Intranst. Ajouter à un objet des ornements d'or. Dorer sur cuir, sur toile, imprimer en creux des filets dorés à l'aide d'une roulette ou d'une presse. • Par anal. Donner à quelque chose la couleur ou l'éclat de l'or. Le soleil dore les moissons. L'automne dorait les feuillages.
2. PHARM. Anciennt. Dorer des pilules, les couvrir d'une mince pellicule d'or. Auj. Fig. et fam. Dorer la pilule à quelqu'un, user de paroles aimables pour lui annoncer une nouvelle fâcheuse ou lui faire accepter ce qui lui cause du dégoût ou du désagrément. On lui a doré la pilule pour adoucir sa disgrâce.
3. CUIS. Couvrir une pâtisserie d'une légère couche de jaune d'œuf avant de la mettre au four. Dorer une pâte feuilletée, des biscuits. Rissoler une pièce de viande et lui faire prendre un ton bruni. Dorer à point un rôti, un poulet.
4. Pron. Fig. En parlant d'une personne. S'exposer aux rayons du soleil afin de brunir. Elle se dorait sur la plage.