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ÉTONNEMENT n. m.
XIIIe siècle, estonement. Dérivé d'étonner.
1. Class. Brusque ébranlement moral ; stupeur.
2. Vive surprise. Un objet d'étonnement. Causer de l'étonnement, un extrême étonnement à quelqu'un. Jeter une personne dans l'étonnement. Cette nouvelle l'a rempli d'étonnement. Être saisi, frappé d'étonnement. Manifester de l'étonnement, donner des marques d'étonnement. Au grand étonnement de tous, il n'a pas été élu. Je ne reviens pas de mon étonnement. Par méton. Ce qui cause une très vive surprise. Aller d'étonnement en étonnement. C'est un de mes étonnements qu'il ait pu réussir par ce moyen-là. • Spécialt. Surprise mêlée d'admiration. Cette décision fera l'étonnement de tous. Quel ne fut pas notre étonnement devant ce superbe spectacle !
3. Spécialt. BÂT. Action d'ébranler, de lézarder, de faire éclater par un choc ; résultat de cette action. L'explosion a provoqué l'étonnement de la voûte. - JOAILL. Fêlure produite accidentellement dans un diamant au cours de sa taille (on dit aussi Étonnure). - TECHN. Procédé de désagrégation de matières minérales ou métalliques, lorsqu'elles sont particulièrement compactes. - PATHOL. VÉTÉR. Lésion causée au sabot du cheval par un choc violent, accompagnée d'une hémorragie plus ou moins marquée et d'une douleur intense.