| ![]() ![]() ![]() ![]() ÉTALAGE n. m. XIIIe siècle. Dérivé d'étaler. ☆1. Exposition de marchandises qu'on veut vendre ; ces marchandises elles-mêmes. Faire, composer un étalage. Mettre à l'étalage. Retirer de l'étalage. Étalage de fruits et de légumes. Un étalage bien fourni. Un étalage alléchant. S'attarder, flâner devant les étalages. S'arrêter aux étalages des bouquinistes. L'étalage d'un grand magasin. Vol à l'étalage. Par ext. Parfois péj. Ensemble d'objets dont l'abondance, la profusion frappe le regard. Un étalage de bibelots sur une console. Un étalage de documents sur un bureau. ☆2. Fig. et péj. Action d'étaler, de faire voir sans retenue ou avec ostentation ; ce dont on fait parade. Étalage indiscret de grands sentiments. Il y a dans ce livre un grand étalage d'érudition. Un tel étalage de luxe impressionnait les visiteurs. Loc. Faire étalage de, faire parade de. Faire étalage de son esprit, de ses richesses, de ses relations. Faire grand étalage de sa science. ☆3. MÉTALL. Au pluriel. Partie la plus renflée d'un haut-fourneau. |